La SETRAG en perpétuelle lutte contre les ignominies intestines.

La Société d’exploitation du chemin de fer Transgabonais (SETRAG) est aujourd’hui, dans l’impasse ce, malgré la nomination du nouveau Directeur Général Christian Magni.

Le seul maitre-mot auprès des agents est le harcèlement, et la directrice de la communication et des relations publiques Patricia Anveme en est le principal souffre-douleur. L’hypocrisie n’est pas loin de là. Chacun y va de son refrain pour anéantir Mme Anveme. On se croirait dans une scène du film « Le Parrain » de Francis Ford Coppola.

En effet, l’univers ferroviaire est un milieu très dur. Ainsi, grâce à ses qualités de patience, de courtoisie, de ponctualité, Patricia Anveme tire tout de même son épingle du jeu. En tant que psychopédagogue, l’actuel Directeur Général de SETRAG, compte faire preuve d’empathie envers la situation qui prévaut.

Rappelons que SETRAG est en partenariat avec 30 médias privés lesquels participent à la bonne marche de l’entreprise. Même que depuis 2018, Siecom sarl, apporte son expertise de conseil en communication. Mais force est de constater que pour des raisons de conjoncture économique, la SETRAG n’est plus en mesure d’assurer son assistance trimestrielle. La crédibilité de ces médias n’est pas remise en cause, tant les 30 médias ont rempli leur cahier des charges avec la publication des articles relatant les récents incidents.

Aussi, comme il est de tradition, la SETRAG prépare un voyage annuel de presse où le plus grand nombre de médias privés prendra part.

En somme, la directrice de la communication et des relations publiques Patricia Anveme est victime d’une cabale qui tente de déstabiliser la nouvelle politique volontariste que mène Christian Magni.

Paul Essonne

Journaliste

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