Noureddin Valentin Bongo « a été un piètre CGAP au service de la présidence de la République ».

Au regard des articles de presse à la solde du Coordinateur général des Affaires présidentielles (CGAP), Jean Obame, un enseignant à la retraite qui a du mal à percevoir ses droits, pense que « Noureddin Bongo Valentin a été un piètre Coordinateur général des Affaires présidentielles au service de la présidence de la République ». Un point de vue partagé par l’ensemble des Gabonais qui n’arrivent pas à comprendre pourquoi le fils d’Ali Bongo Ondimba occupe les conversations alors que son bilan est plus que négatif, raison pour laquelle il a été viré à la Présidence de la République.

Aujourd’hui, Noureddin Bongo Valentin fait la pression à son père Ali Bongo Ondimba pour qu’il lui trouve une place au soleil. Au siège du Parti démocratique gabonais où il a été nommé comme conseiller stratégique, les camarades de ce Parti disent que l’homme n’y a pas encore mis ses pieds. C’est pourtant une opportunité de bien faire ses premières classes en politique, vu que dans l’administration ce fils à papa a échoué.

Avec un Ali Bongo Ondimba aux affaires de la gestion du pays, d’une part sous le règne de son père feu Omar Bongo Ondimba et d’autre part  depuis dix ans aux commandes c’est maintenant qu’il découvre le pot aux roses. Malgré les brillantes études de son fils Noureddin Bongo Valentin, force est de constater que les Bongo ont du mal à améliorer les conditions de vies des Gabonais. Après 12 ans seulement à la tête du pays, l’on vante les mérites d’un pouvoir qui se cherche, les Bongo ne sont pas la solution du Gabon.

Ils récoltent des louanges, alors même qu’ils n’arrivent pas à tenir des promesses, à l’exemple d’Andeme, la Baie des rois, les mesures d’accompagnement pendant la période Covid-19. De plus, il y a les difficultés liées à la livraison du chantier du boulevard, des voiries de Libreville, Port-Gentil, Mounana, et d’autres qui se trouvent dans l’arrière-pays. Au lieu de s’attarder sur les larmes d’un fils qui veut un poste juteux pour satisfaire ses besoins, le Gabon doit prendre en main sa destinée.

Paul Essonne

Journaliste

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