Une clique de pequènot au lourd et misérable appétit de ces choses éphémères qu’ils ou elles s’empressent d’exhiber à tout va comme d’un trophée une fois promu (e) à des hautes fonctions.
Une fois là-haut, ils (elles) rabaissent leurs semblables en oubliant qu’ils redescendront.
L’esprit vide, ils (elles) sont semblables à ce superflu badigeonnage de produits cosmétiques ou de ces attirails dont s’ornent fièrement les clowns avant un spectacle.
Seulement nos clowns promus au sein de la haute administration ne nous font pas rire de complétude mais plutôt de dépit. Maladroit dans le management, adroit dans la prévarication.
Aussi, pour échapper aux sanctions dont la plus redoutable est le séjour pour un exil intérieur intra muros, s’empressent-ils (elles) d’appartenir au prestigieux cénacle d’Hommes porteur de lumière ou de militer sans conviction, avec un zèle sans intelligence dans le parti au pouvoir.
A dire vrai, ce sont eux les pauvres. Pauvres d’esprit à la concupiscence d’envies dégoulinantes. C’est parce qu’ils (elles) sont pauvres que l’humilité a foutu le camp de leur être. Quel gâchis.
Ceux là…A leur vue, n’ayant point d’égards car leur présence n’est réelle qu’à l’idée qu’ils (elles) se font d’eux-mêmes et à la débauche d’énergie qu’ils (elles) déploient pour attirer votre attention afin que votre esprit l’intègre en une faiblesse ou un sentiment de complexe.
Les masques tombent dans la galerie d’arts de prestidigitateurs.
Ce qu’ils (elles) n’ont pas compris c’est que l’argent de ce petit Gabon là est semblable à ce micro-organisme vivant invisible à l’œil nu mais très nuisible pour la santé. Le microbe.
C’est bien beau de célébrer Omar Bongo Ondimba mais qu’avez-vous appris de ce qu’il a dit au soir de sa vie. J’ai écrit.