Dans le livre « L’avenir de la vie » de Michel Salomon publié en 1981, un recueil d’entretiens avec diverses personnalités du monde scientifique, Jaques Attali disait qu’à l’avenir il s’agira de trouver un moyen de réduire la population. Il avait prédit que ce peuple sera éliminé en vitesse sans besoin de recourir aux armes mais par le contrôle de sa presse. Nous lui ferons croire qu’il est coupable et il fera le reste.
En 1981, Jacques Attali disait « nous commencerons par les vieux car dès qu’ils dépassent 60 à 65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et coûte chère à la société. Ensuite, les faibles puis les inutiles qui n’apportent rien à la société car il y en aura de plus en plus et surtout enfin les plus stupide. Une euthanasie ciblant ces groupes. L’euthanasie devra être un instrument essentiel de nos sociétés futures dans tous les cas de figures. On ne pourra bien sur pas exécutés les gens ou faire des camps, nous nous en débarrasserons en leur faisant croire que c’est pour leur bien. »
Plus loin, il affirme « La population trop nombreuse et pour la plupart inutile, c’est quelque chose d’économiquement très coûteux. Ceci étant, il est également bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement, cela veut dire qu’il est mieux de vous assassiner et de vous euthanasier que de vous laisser dépérir parce que vous coûtez de l’argent. On ne pourra pas non plus passé des tests d’intelligence à des millions de gens. Nous trouverons quelque chose ou provoquerons une pandémie qui cible certaines personnes ou crise économique réelle ou pas qui touche, un virus qui touchera les vieux ou les gros peu importe, les faibles y succomberons, les peureux et les stupides y croirons et demanderons un traitement. C’est clair. Nous aurons pris soins d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule, ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »
Ainsi, sur la base des données officielles sur l’incidence de l’épidémie par rapport au nombre de décès, il existe très certainement des puissances intéressées à semer la panique parmi la population mondiale dans le seul but d’imposer en permanence des formes de restriction inacceptables sur les libertés, de contrôler les personnes et de suivre leurs mouvements. Toutefois, l’imposition de ces mesures est un prélude inquiétant à la réalisation d’un gouvernement mondial indépendant de tout contrôle.