La vidéo a déjà fait le ‘’buzz’’ dans les réseaux sociaux. Un directeur d’école qui a perdu la vie dans un hôtel à Owendo, en pleins ébats sexuels avec semble-t-il une ‘’tchiza’’. Cette dernière l’ayant trouvé inerte sur leur lit, a immédiatement alerté la police et l’ambulance qui se sont occupé de la dépouille.
La scène se décrit comme une séquence de film d’horreur tout droit sortie d’Hollywood. Ce directeur d’école dont on ignore pour le moment l’identité, ne rentrera plus jamais chez lui, sa copine sera donc la dernière à avoir succombé à ses caresses et profiter de ses derniers instants sur terre, ce dont elle n’avait jamais songé. Pour cause, monsieur X aurait consommé un aphrodisiaque pour stimuler le désir sexuel et booster la libido. Certes, les aphrodisiaques et autres filtres d’amour existent depuis la nuit des temps, certains pour augmenter la « performance sexuel » cependant, mais ils peuvent s’avérer dangereux s’ils sont mal consommés, voire à l’excès.
Plusieurs hommes sont confrontés à des problèmes sexuels, et le manque de performance en fait partie. Certains trouvent le courage de consulter un spécialiste, d’autres sous l’effet de la honte, préfèrent se fier aux conseils de ces vendeurs ambulants qui nous présentent des photographies, en promettant que le produit acheté vous donnera le même résultat. Mensonge !!!
Sans oublier toutes ces vidéos sur le net des personnes qui découvrent chaque jour des recettes sorties du chaudron d’une sorcière des mondes engloutis. Autant de signes qui doivent déclencher chez nous l’instinct de survie.
Un filtre d’amour ne marche que si la posologie est respectée, mais force est de constater qu’ils y’en a qui se croient plus malins, en allant au-delà de la posologie sous prétexte d’être plus performant afin de ne pas décevoir sa bien-aimée, qui est peut-être trop gourmande.
La perte de la vie de ce monsieur dans cet hôtel n’est pas le premier cas de ce genre, il se trouve que malheureusement, beaucoup sous l’effet d’un produit dit ‘’aphrodisiaque’’, meurent à la suite d’effets secondaires. Armons nous donc de vigilance.