Le 2e vice-président de la commission des lois et des affaires administratives, chargé des droits de l’homme et sénateur de la commune de Makokou et du département de l’Ivindo Faustin Mbounda vient de se retrouver avec l’ensemble des conseillers dans les locaux de la mairie du 1er arrondissement de Makokou. Au centre des échanges, la restitution du travail parlementaire effectué durant 9 mois.
Au cours de ces échanges, le vénérable sénateur Faustin Mbounda a révélé qu’au cours de cette session, « la présidente de l’institution Lucie Milebou Aubusson épouse Mboutsou et ses collègues sénateurs ont pu réaliser de nombreuses activités dont l’essentiel a porté sur l’examen et l’adoption de plusieurs textes de loi qui participent indubitablement au renouvellement de l’encadrement juridique et normatif dans notre pays ». A ce titre, 35 lois ont été examinées et votées dont 16 lois ordinaires, 5lois d’autorisation de ratification de conventions internationales, 10 textes de ratification d’ordonnance, 2 lois organiques, 2 propositions de loi et un débat d’orientation budgétaire. Rappelons que le compte rendu parlementaire est un rituel républicain pour tout parlementaire de rendre compte du bilan des travaux législatifs à la fin de chaque session.
Aussi, le vénérable sénateur Faustin Mbounda face aux conseillers a mis l’accent sur celles qui ont un impact sur le plan social. Sur les questions liées au bien-être social, il a déclaré que « le rôle du parlementaire est d’interpeler le gouvernement et de transmettre les préoccupations des populations au gouvernement lors de l’ouverture de la prochaine session parlementaire ». D’ailleurs, Charles Bilambi, conseiller du Rassemblement pour la démocratie et le progrès (RDP), n’a pas manqué d’apprécier la démonstration du vénérable sénateur dans l’instruction de l’activité du parlementaire de la 1ère chambre « deux points ont focalise mon attention : l’arrimage de la pension vieillesse et l’augmentation du budget de l’Etat par les ressources pétrolières. De ces sujets, nous osons croire que l’adoption de ces deux textes aura un impact positif auprès de tous les Gabonais ».
Les participants se sont séparés dans l’apothéose.