Dans l’objectif d’une mise en œuvre des politiques publiques pour la valorisation du capital naturel unique de l’Afrique, en tant que moteur de la reprise d’une croissance verte, à cet effet Libreville abrite du 28 au 29 juin, l’atelier sous régional sur l’économie verte.
Il s’agit d’acter le mécanisme de la valorisation du capital naturel et des modèles d’affaires appropriés pour le préserver et le régénérer. De ce fait, dans le cadre de la conférence africaine sur l’économie verte dirigé par le partenariat pour la connaissance de la croissance verte et ses partenaires des initiatives Economics For Nature, Natural Capital for African development Finance, et des leaders régionaux issus de l’administration publique, du secteur privé, de la société civile et de partenaires techniques et financiers dont des représentants des Etats membres de la CEEAC, tous réunit à Libreville.
Les participants à cet atelier planchent sur le rapport général « l’avenir écologique de l’Afrique Centrale et la reconstruction post-Covid », réalisé par le WWF et la CEEAC. Ils ont aussi abordé l’intégration et le financement du capital naturel, dans les politiques et les investissements pour la croissance verte en s’appuyant sur les priorités prenantes nationales.
« Comme la gestion des ressources naturelles, le développement d’une économie verte requiert l’implication de l’ensemble des acteurs qui peuvent chacun à son niveau y contribuer. C’est pour cette raison que je me réjouis de la variété des participants à cet atelier » indique le directeur des politiques et partenariats bureau régional du WWF pour l’Afrique, Laurent Magloire Some.