Les querelles amoureuses : Quand faut-il s’arrêter pour éviter le pire ?

Un jeune homme arrache le nez de sa concubine, après une violente dispute. Selon des sources recueillies par nos confrères, une simple remarque du jeune homme à sa copine aurait rendu cette dernière furax. Entrant dans une colère noire, une bagarre va très vite éclatée.

Ce genre d’histoire devrait nous servir de leçon, car il semble aujourd’hui que la bouche, ou sinon la langue, n’est plus contrôlée, surtout par les femmes. Un simple mot mal ou bien placé peut changer le cours d’une journée dans la vie d’un couple. Malheureusement, la femme avec l’émancipation a tendance à se placer au même diapason que l’homme, l’exposant ainsi à des risques. La femme n’est plus à la recherche de la douceur, mais de l’égalité quitte à frustrer l’homme. De plus, avec la modernisation et les multiples lois qui sortent quotidiennement en faveur de la liberté, les femmes en sont arrivées à oublier, quelles ont été créées pour être soumissent. C’est naturel, et divin de surcroît.

Lors d’un conflit avec son partenaire, on peut vite monter en émotions, dire des mots maladroits. En effet, chacun ayant ses propres valeurs, c’est lorsque cette différence de conviction se manifeste et n’est pas maîtrisée que le conflit « pointe le bout de son nez ». Cependant, l’homme n’aime pas l’humiliation, et cela peut très vite partir au clash si on n’a pas recours à une communication non violente.

Au-delà de toutes conceptions la femme est d’abord un être fragile et délicat, mais très peu de personnes le savent. Les querelles ne sont pas une histoire de sentiments, mais une divergence d’opinion, la barrière du respect est alors franchie et les limites sont dépassées. L’expression « tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler » prend tout son sens, car en général, les signaux de violence doivent être perçus par la femme, lorsque son conjoint est à bout cette dernière doit instantanément se taire. Carine V  l’a compris assez tard face à son conjoint Franck B.

Mesdames, vous ne serrez jamais des hommes !

Nelly NGONDET

Journaliste

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *