En juin dernier, Le Douk-Douk a écrit contre le site en ligne 7joursinfo suite à un article intitulé « les fangs de l’estuaire réduits à zéro par Ali Bongo Ondimba ». Ce journal qui fait de la masturbation intellectuelle ne pouvait que s’acharner sur 7joursinfo, oubliant que son propre directeur de publication rongé par la famine avait décidé de faire un choix personnel, se vendre à vil prix pour le restant de ses jours, car ne pouvant plus se remettre après avoir certainement passé son temps à aligner des confrères auprès de leur bourreau. Certains directeurs de publications se retrouveront. Résultat des courses, malgré les miettes qu’il reçoit, l’homme reste squelettique, aigri, quand il se réveille le matin, il a honte de se voir devant un miroir, un venin qu’il garde depuis qu’il est au Gabon.
Aujourd’hui, c’est le tour du journal la Calotte du défunt Habib Antoine Bibalou, repris par son grand frère Charles Steeve Bibalou, tous les deux photographes au départ. A la mort du petit frère, le grand frère va prendre les rênes de l’organe de presse sans consulter la femme de son petit frère, bref. Puis, la Calotte va disparaître des kiosques à journaux durant une assez longue période. Le journal va réapparaître suite à la signature d’un deal, avec en substance la conception et la rédaction d’articles de presse à charge contre tous ceux qui refusent la politique d’Ali Bongo Ondimba. Les initiés savent de quoi il est question. Ceux qui pilotent le projet pouvaient alors se frotter les mains, car ils s’étaient rendu compte d’avoir négocié avec des affamés de la presse(les moutons se baladent ensemble, mais non pas le même prix).
Revenons sur le journal la Calotte du mardi 21 septembre, dans son encadré de la page 3 l’on peut lire : « La connerie journalistique désormais ancrée, Le maboulisme 3 D d’une certaine presse », cela en réponse à l’article de 7joursinfo titré « les échecs de Nourredin Bongo Valentin à Ebacater… »
Que le directeur de publication de ce journal Charles Steeve Bibalou aille faire un tour à Ebacater illico presto, afin de se rendre sur les axes cités dans l’article, la rédaction de 7joursinfo est prête à mettre à contribution des moyens de locomotion pour constater le calvaire vécu par les populations de cette artère de la capitale. Que Charles Steeve Bibalou prouve qu’il gère encore le patrimoine laissé par son petit frère. A défaut d’être aveugle aucun journaliste ne peut rester insensible face au calvaire des Gabonais, même en recevant le budget du Gabon ou l’argent de la famille Bongo.
Pour l’heure, face à cette cabale des ramasseurs des clés contre le média en ligne 7joursinfo, la Haute Autorité de la Communication (HAC) est bien silencieuse. De grâce, que l’on ne demande pas au personnel de 7joursinfo de faire dans le travestissement.
Aujourd’hui, la rédaction du media en ligne 7joursinfo attend avec beaucoup d’impatience la réaction des deux journaux le Douk-Douk et la Calotte ou d’un autre dont le directeur de publication a vendu son âme à Noureddin Bongo Valentin. Rappelons que l’ancien CGAP s’est substitué non seulement au ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur lors de sa visite des travaux de réfection de l’université Omar Bongo, mais aussi au ministre des Infrastructures Armel Bounda Balonzi à travers ses émissaires pour le contrôle des travaux à Nzeng-Ayong.
Nous somme visiblement comme l’affirme Alfred Nguia Banda dans « La République du village ». Ce dernier a raison. Peut-être que « Les loups et les loups ne se mangent pas », mais en période de famine c’est tout le contraire qui arrive. La vigilance est de mise !