Gabon/SETRAG : Akournam 2 bénéficie d’une passerelle.

Le jeudi 19 août 2021, la SETRAG a procédé à l’inauguration d’une passerelle piétonne pour les habitants d’Akournam 2 dans la commune d’Owendo. C’était en présence des autorités administratives, gouvernementales et du groupe Eramet.

Aussi, le ministre des transports, Brice Constant Paillat, très actif sur le terrain pour encourager les différentes initiatives de la SETRAG à la faveur des populations, a coupé le ruban officialisant la mise en service de cette passerelle. Il y avait à ses côtés Jeanne Mbagou, la mairesse de la commune d’Owendo, le directeur général de la SETRAG, Christian Magni, le délégué général du groupe Eramet au Gabon, Loïse Tamalgo et celui de l’ARTF, Patrice Aboubakar Nendjot . Achevée en 2019, la livraison de la passerelle du pk2 était conditionnée par la construction d’une autre pour personnes à mobilité réduite

Cet ouvrage entre dans le cadre du plan d’aménagement adossé au plan de remise à niveau de la voie ferroviaire (PRN) qui prévoit la construction de 15 passerelles de cette nature. A ce jour, 4 ont été achevées,3 en voie de construction, il en reste 8, lesquelles seront construites selon le plan d’exécution qui prendra fin au terme du PNR prévu pour 2024.

Cette action de portée sociale initiée par la Setrag est partie du constat selon lequel les populations traversent quotidiennement les rails à Akourman 2 dans la commune d’Owendo, s’exposant aux risques de heurts avec  des trains. Ces accidents sur la voie ferrée ont donc conduit la Setrag à  construire des murs et des passerelles, afin de remédier à la situation.

Au registre des réactions, l’on a enregistré celles de la mairesse d’Owendo et le ministre des transports, qui ont affirmé : « c’est un horizon d’espoir qui se dégage, ce d’autant plus que la passerelle est gage de la sécurité civile, face  aux traversées nonchalantes  et intempestives des riverains qui se terminaient régulièrement en drames ».

La SETRAG prévoit sous peu l’érection d’une barrière dans l’optique de contraindre les populations à utiliser les structures construites pour elles.

Obone Flore

Journaliste

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