Gabon: Le parti démocratique Gabonais semble être aux antipodes de la réalité perceptible de notre espace politique et géostratégique.

Jusqu’à présent les camarades militants attendent la publication des différents
responsables politiques qui devront présider aux destinées de notre formation politique pour les prochaines années avenirs.
 Malheureusement ce débat du caractère obligeant exécutoire des résolutions des congressistes leur importe peu mais ils préfèrent  impliquer l’ ensemble des militants du parti de masse et élite dans un débat oisif sur une prétendue xénophobie raciste, ségrégationniste que développerait les populations électrices à la recherche d’ un mieux être et bonheur qu’ on leur à promis, pendant que certains Gabonais à part, choisis à l’ étrier prospèrent, d’ autres manquent du nécessaire, des minimas recommandés par la première dame a travers les recommandations de son cabinet d’ évaluation du niveau de pauvreté et prévarication des populations.
En quoi marquer,attirer l’ attention des
 pouvoirs publics sur le risque de déstabilisation de notre pays à cause de la fracture sociale visible causée par l’ invasion barbare telle des crabes staliniens de ses binationaux qui n, ont pour objectif que de spolier notre État et déposséder les autochtones de leur terre, richesses et matières premières.
S’ interroger sur l’ usage disproportionné des binationaux à des postes de souveraineté dans notre pays devient un crime de l’aise majesté au point où nos responsables du parti de masse arrivent à prendre parti de ses individus qui demain lorsque le cratère va exploser, fuiront et retrouveront leur patrie d’ origine.
Quel est l’ intérêt et l’ opportunité d’ une telle communauté dans le contexte que le porte parole à lui même défini, marqué par des vives tensions et redessine ment de la cartographie mondiale.
Ce que nombreux semble ignorer’ est qu’ a travers toutes ses communications et modifications constitutionnelles, les camarades, patriotes avertis que nous sommes arrivons à détecter une certaine phobie, incertitude avenir et crainte, Dieu seul sait de quoi demain sera fait.
Au lieu plutôt de calmer le jeu en ramenant les protagonistes à la recherche de l’ accalmie afin de sauvegarder notre vivre ensemble, cohésion sociale, non les responsables du parti préfèrent hatiser la flamme auprès des potentiels électeurs des quartiers malfamés, accablés par la crise économique financière et sociale.
Quelle drôle de communication!
Pour conclure en disant nous soutenons le distingué camarade président comme s’ ils avaient un autre choix en dehors du candidat naturel.
Vous semblez n’ avoir pas tiré les leçons des différentes élections de 2009 et 2016, pire encore les évènements postes électoraux.
C’ est vraiment triste et regrettable.
Par David Mberakouma MCN élu du PDG du congrès des deux RR.
Paul Essonne

Journaliste

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