Commonwealth : les autorités gabonaises veulent mettre un terme aux relations stériles avec la France.

 Depuis quelques jours une délégation du   Commonwealth  séjourne dans la capitale gabonaise. Objectifs, discuté avec certaines autorités gabonaises, pour mieux cerner les enjeux de l’adhésion du Gabon à cette organisation forte de 54 Etats. Conduite par   le diplomate Andrews Lindford,  ladite délégation a rencontré  lundi dernier,  la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale.  

Le Gabon pourrait devenir le 55e Etats  membres du Commonwealth. C’est le moins qu’on puisse dire après la rencontre du Lundi dernier,  entre la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, présidée par Blaise Louembe, le député du 1er arrondissement de la commune de Koula-Moutou (Ogooué-Lolo) et  la délégation du Commonwealth, conduite par le conseiller et chef du département électoral, Andrews Linford.

Des rencontres plutôt fructueuses qui démontrent toute la détermination des autorités gabonaises à adhérer à cette organisation.  Une entrée, qui pourrait également mettre un terme  à certains privilèges  que possède la république française au Gabon.

A en croire les autorités gabonaises,  Cette audition visait à bien cerner les enjeux de l’adhésion du Gabon à cette organisation. La délégation du Commonwealth devrait plus tard dans la semaine rencontrer le premier ministre Rose Christiane Ossouka Raponda.

Ikoundi Nguema

Journaliste

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *