Africa Code Hackathon : Le Gabon décroche le 2ème prix du concours.

Le Caire, la capitale égyptienne, a abrité tout dernièrement  l’Africa Code Hackathon, un événement qui a pour objectif de renforcer les compétences des jeunes femmes afin qu’elles puissent jouer un rôle dans la résolution des problèmes de leur société grâce à la maîtrise des technologies.

Le Gabon qui prenait part à cet évènement, invité par l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), était représenté par Tamarah Moutotekema Boussamba de l’Institut supérieur de technologie (I.S.T) et Marlyse Hangamalongo Mapaga de l’Institut africain d’informatique (IAI). L’équipe gabonaise a remporté le 2ème  prix du concours de la meilleure solution technologique portant sur une solution de conseils et de suivi des productions vivrières appelé « Wagui ».

C’est une belle victoire pour « ces jeunes filles qui ne se connaissaient pas avant de participer à ce concours, mais qui ont mis leur passion et connaissances en commun ». C’est aussi le fruit d’un travail d’équipe avec Halimatou Bah, représentante de la Guinée qui a participé au montage du projet.

Au cours de cette rencontre, les participantes ont bénéficié de 5 jours de formation et d’ateliers. Les formations dispensées par les experts portaient sur les dernières technologies numériques, permettant notamment la création de solutions numériques liées aux objectifs de développement durable.

Outre le renforcement des compétences des jeunes participantes âgées de 18 à 26 ans, cette compétition se veut d’être un espace de rencontre entre les participantes égyptiennes et les internationales francophones originaires du Gabon, Maroc, Tunisie, Rwanda, Sénégal, Guinée, Congo et Côte d’Ivoire.

JA Gabon, heureux et fier  d’avoir fait la mise en relation entre les établissements et l’OIF,  félicite l’équipe gabonaise et leur souhaite pleine réussite pour la suite de l’aventure.

Noter que cet évènement a été porté par le ministère égyptien de la Jeunesse et des Sports et appuyé par l’OIF, en partenariat avec le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) et Microsoft.

Obone Flore

Journaliste

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