Affaire Porta Potty/Entre scatologie et fantasme sexuel : un handicap réel pour l’épanouissement psycho-spirituel.

Les temples de bwiti et les églises n’ont pas fini de voir défiler des personnes souhaitant se faire « laver le corps » ou « imposer les mains », pour avoir été en contact direct ou indirect avec des individus pratiquant la scatologie.

Vous vous rendez compte parfois du nombre de personnes que l’on fréquente, avec qui ont essaie de bâtir une relation ou une amitié solide, mais qui en fait ne nous a pas tout révéler sur son passé. Prenons exemple sur ces filles qui servent désormais de Porta Potty (un mouvement qui consiste à réaliser les fantasmes des hommes très puissants financièrement, par des pratiques ignobles telles que déféquer, uriner dans la bouche) ou ayant des rapports sexuels avec des animaux. Ce sont des influenceuses du net et d’autres réseaux de placement qui en sont les principales victimes. D’ailleurs, quel genre d’influence ces filles exercent-elles ?

Vous allez certainement me dire que ce phénomène ne date pas d’aujourd’hui, et qu’avec les temps difficiles qui courent beaucoup sont à la merci des psychopathes. La réalité c’est que les mêmes personnes vivent au milieu de nous, elles sortent avec nos frères, nos fils, nos maris. Imaginer une bouche peut être avec un reste d’excrément entre les dents, venir vous embrasser. C’est un peu semblable à une femme qui après avoir trompé son mari ou son conjoint, le reçoit le soir avec un reste de semence de son amant dans sa bouche.

Ces actes ignobles sont susceptibles d’engendrer la malédiction dans les vies des uns et des autres. Au bout du compte, ces mêmes filles veulent se marier et fonder des familles, mais avec qui ? Elles ont forcement des petits copains, voir mêmes des époux.

Pour le moment, cette scandaleuse affaire de Porta Potty a éclaté à Dubaï et ne pointe pas encore le Gabon du doigt même si d’énormes rumeurs commencent à sortir de l’ombre sur un énorme réseau de placement. Il est important de rappeler que l’argent fini, la beauté s’éteint, cependant, que nous reste-t-il de nos sœurs qui ont choisis cette facilité comme option de réussite, si ce n’est la désolation, l’indifférence et l’infamie spirituelle.

Force est de constater que, les bandjas et autres églises n’ont pas fini de laver les corps des gens pour lever la malchance. Affaire à suivre.

Nelly NGONDET

Journaliste

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