Gabon/Gestion scabreuse au CND/Libre-propos : Simon Adolphe EVOUNA répond à Martin BOUDZANGA : les points sur les i.

La communication a ses pratiques propres dont-il faut impérativement en maîtriser l’abécédaire et les arguties. Mais comme n’importe quel bras cassé entend s’y essayer et de s’en prévaloir, tu es de ses communicateurs des égouts.

Monsieur BOUDZANGA, le métier de cheminot dont tu t’es barbouillé de cambouis et musicien sans grand succès ni talent semble être moins valorisant, au point de te résoudre en chien de garde et roquet patenté, ce qui fait de toi un calculateur de bas étage. Tes sornettes révèlent que tu es par essence un abruti, un piètre répétiteur au mépris de la réalité des faits. Un journaleux irréfléchi qui ne se donne pas la peine de vérifier la véracité de ses dires. Le barbouilleur de papier sans vergogne que tu es, Monsieur BOUDZANGA et dans ton baratin, ton mensonge par omission, ton mensonge par calcul, ton mensonge par provocation que tu sèmes à tout va sont l’illustration des propos ridicules qu’intolérables doublés d’un cirage maniaque de brodequins sont l’affirmation de ton être.

Monsieur BOUDZANGA tu n’es qu’un petit mécano, un politicien sans imagination qui ne connait rien, et tes propos jusqu’au boutiste sont contre-productifs et bruyants, tu n’es qu’une glauque, l’ami de oui-oui. Casse-toi nullâtre.

Pour ta gouverne, je te fais remarquer qu’à ce jour, dans la vie de l’institution, le Président du PSU que je suis à proposer deux (02) thématiques dont l’une militait pour la mise sur orbite institutionnelle du camp centriste à l’instar du camp de la majorité et de l’opposition, comme s’en est le cas dans le corpus politico-institutionnel national, étant entendu que le PSU se réclame du centre gauche. L’autre quant à elle avait trait à la réforme électorale. Sur un tout autre plan, lorsqu’il s’est agi de l’élaboration du règlement intérieur et du code de bonne conduite du CND, le PSU y a contribué activement, et ton mentor en sait un morceau. Il te suffit de mener ta petite enquête pour t’en convaincre d’ailleurs. Les acteurs de l’époque sont encore vivants et peuvent le témoigner. Au-delà, mes publications dans les journaux tels : NKU’U le messager et le Temps sont légions. Bref, je te le concède car tu n’es qu’un louveteau au CND. Ces quelques faits portent à suffisance l’apport de Simon Adolphe EVOUNA dans la vie de l’institution, et toi …. ?

Monsieur BOUDZANGA, pour l’avorton que tu es, je te mets alors au défi que tu nous donnes les mobiles profonds qui ont valu l’éviction des rapporteurs et questeurs du CND ? Ce dernier ayant la charge de toutes opérations budgétaires comptables et financières, dont seuls habiletés en la matière. Et puis le groupuscule que tu dénommes « bande à EVOUNA » et que tu arroses d’injures est forte d’une trentaine de conseillers du CND et que Simon EVOUNA n’est qu’un porte-parole. Le pied nickelé que tu es peut tout de même constater qu’il ne faut pas sortir major d’HEC pour comprendre réellement ce qui s’est passé, et ce qui se passe au CND, mais comme un épais bandeau sur tes yeux t’empêche de voir… Monsieur l’écrivaillon BOUDZANGA, lorsque tu t’es mis à faire des pieds et des mains pour voir ton nom figurer parmi les requérants qui ont saisi l’Union Africaine au motif de la non application du protocole d’accord du Dialogue Politique et par conséquent en demandait réparation pour le préjudice subi. En avais-tu réellement droit, ta persistance reposait sur quoi ? Assurément sur le pognon n’est-ce pas ! tartuffier hors pair. Casse-toi petit gros ridicule.

Monsieur bricolage BOUDZANGA, tu es sorti des bas-fonds, pitre, et matamore grotesque, ton auto proclamation « communicateur » est devenue une valeur refuge où tu excelles dans l’éloge de la vertu quelconque, celà dit, on ne change pas les rayures d’un zèbre, tu es ce loser, une ordure, avec toi l’on vit un archaïsme » communicationnel, voilà pour le manchot pygmée que tu es. Et c’est tout ce qui fait aussi de toi le labrador du Président du CND. Et tout compte fait, si l’on peut gagner sur le mensonge, après il faut payer sa dette…

Monsieur loyal BOUDZANGA, tu es rentré dans la catégorie des girouettes de haut vol, et puisque les girouettes ne se renient jamais, c’est le contexte qui change. Il faut toujours changer d’opinion pour être toujours du parti des girouettes, voilà pour le gnome du boulevard triomphal, ah ! J’allais dire du CND, l’idiot borné que tu es. Et puis, pour un ambitieux, un calculateur, le plus court chemin de l’amitié à la réussite, c’est la trahison : voilà pour l’essence de ton être Monsieur BOUDZANGA.

Aussi, retiens qu’en politique, il y a une chose plus terrible que la calomnie, c’est la vérité, elle est implacable. Merci pour ton culot d’enfer. Casse-toi pauvre imbécile.

Pour le ci-devant, ci-dessous et ci-rien journaleux, tais-toi, BOUDZANGA, ce n’est pas et de loin toi petit bulldog de service et ta petite intelligence triviale peut au moins te faire constater que la gouvernance du CND est une gouvernance de chaussettes à clou, de la trique, du sabre et du goupillon. Est-ce celà la démocratie ? Lorsque la rancœur, la haine frontale, glaciale habitent certains. Monsieur BOUDZANGA peux-tu éclairer notre lanterne sur le paiement des frais de session, à ce sujet nous aimerons savoir la destination que prennent les fonds après décaissement du trésor ? Pures manigances aux relents de répressions politiques, intellectuelles et de sanctions. Certes, toute explication qui vaille participe au génie de l’esbroufe, manœuvre qui consiste à entortiller bon nombre de conseil. Cela étant, pour rafraîchir ta petite mémoire de journaleux retient qu’un journaliste ne dévoile jamais ses sources d’informations. Et le Président du PSU que je suis en sait gros et peut en dire long…

Monsieur BOUDZANGA, tu n’es qu’un grimaud affreux, une arsouille, une grenouille qu’on retrouve dans toutes les mares. Cela dit, je te comprends comme la politique est affaire d’estomac. Au demeurant, saches que tu as proféré des injures à des chefs de partis et leurs mandants, en les traitant d’affamés et autres infamies, le moment venu ils se feront entendre raison et extrairont le bon grain de l’ivraie.

C’est pas toi BOUDZANGA, le rastignac de la pire espèce que tu es, qui peux ébranler ma conscience et mes convictions d’homme politique : mes états de services en sont éloquents. Cuistre endurci et valet du PDS, dans tes péchés mignons et ton apologie éperdue à ton coach, on attend de voir comment tu colleras ta pauvre petite figure lorsque sonnera le glas. L’affreux gigolo, maître chanteur et organisateur de cérémonie, la seule prouesse où tu as bien joué ton rôle de cassandre, bravo ! mais, on attend aussi de voir comment tu vas récupérer la mémoire politique de ton père « putatif ».

Si l’électro-encéphalogramme ndaotien est plat, le Président du PSU que je suis n’y est pour rien. Casse-toi diable boiteux, tartarin, Martin pécheur et voyou de passage.

Et toc, à bon entendeur, à toi fraternellement !

Simon Adolphe EVOUNA

Paul Essonne

Journaliste

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