Le scénario marquant ce macabre découvert aurait pu inciter les plus célèbres producteurs des feuilletons américains à sensation des années 80 : Dallas, Dynastie ou Santa Barbara… ou tout simplement les producteurs gabonais : Melchy Obiang, Patrick Eboué et autres.
Tant plus la scène d’une idée irréaliste s’est déroulée dans l’une des somptueuses résidences de Bikele, propriété de Paul Biyoghe Mba, maître des lieux, occupée par certains membres de sa nombreuse fratrie.
En effet, les images laissant apparaitre l’une des soeurs de Paul Biyoghe Mba, la nommée « Maman Marie » ; ligotée dans l’une des pièces avec un message d’avertissement ; ayant occupées la toile et les réseaux sociaux le week-end écoulé, n’ont été en réalité qu’un savant dosage d’un montage savamment inspiré par la prétendue « victime« . Qui aurait voulu faire croire à un cambriolage. Ou une vendetta politique visant l’ancien premier ministre, Paul Biyoghe Mba.
En réalité, il n’en est rien qui puisse le faire croire, nous aurait indiqué une source familiale, qui estime qu’en simulent cette scène sa parenté aurait voulu échapper aux nombreux créanciers dont elle aurait, sous le couvert du nom de Paul Biyoghe Mba, abuser de confiance et escroquer en vendant illicitement des parcelles ne lui appartenant pas à de multiples demandeurs.
Les sommes indûment perçues de ses transactions immobilières frauduleuses, s’élèveraient à plus de 100 millions de francs CFA aurait soutenu une source proche de la famille.
Dans l’incapacité d’attribuer à chaque » acheteur » son lot, « Maman Marie » aurait habilement maquiller la scène où elle même se met en évidence comme victime de malfrats sortis de sa vue d’esprit.
Ainsi, des menaces de poursuites judiciaires pesaient ses derniers temps à l’encontre de la « victime« , qui émergerait comme fonctionnaire au Conseil gabonais des chargeurs avec un salaire mirobolant à faire pâlir des jaloux.