Il est inutile de revenir sur l’état général du Gabon; un pays aux immenses richesses à commencer par sa jeunesse, au sol et au sous-sol immensément riches. Un pays dont la population a atteint les bas fonds de la pauvreté, du mensonge, de la dépravation des mœurs, des crimes en tout genre.
Un pays occupé par 80% de clandestins mafieux, voleurs, criminels venus d’Afrique de l’ouest. Un pays où les popos venus en embarcations de fortunes du Bénin, se font milliardaires avec la complicité de certains gabonais véreux.
Au final, les atouts dont bénéficient notre pays sont dévoyés, mal gérés, et les valeurs, la morale, le respect ont foutu le camp et sont à Reconstruire. Aussi, il serait vraiment irresponsable de repartir dans le contexte actuel sur les débats politiques.
Seule la peur du gendarme peut permettre de redresser notre pays sur tous les plans.
Toutefois, il convient de soumettre l’action de ce pouvoir transitoire à une évaluation indépendante dont les rapports doivent régulièrement être communiqués au peuple et à l’opinion publique.
L’impact de certains projets ne pouvant être mesuré qu’après un certain temps, autrement dit après une durée de cinq ans; il faut donc ce temps nécessaire aux militaires pour tout simplement remettre l’ordre dans les secteurs prioritaires de la vie et remettre enfin le pouvoir au civil.
Telle est la proposition de la Société Gabonaise de suivi et de l’évaluation des politiques publiques (SOGEVAL).
PETIT-LAMBERT OVONO ÉVALUATEUR CERTIFIÉ DES POLITIQUES PUBLIQUES PRÉSIDENT DE SOGEVAL
