Toute relation amoureuse, simple relation, vie de couple (mariage civil et/ ou religieux etc.), présente une jalousie suscitée tôt ou tard par un triangle amoureux. C’est là, une perception presque générale.
Cette structure triangulaire est représentée par un cocufié, l’objet de son amour et celui ou celle qui viendrait déposséder le premier de son bien. Ce que l’on ignore et qui ne nous vient presque pas à l’esprit c’est que tout homme ou femme se trouvant dans cette situation triangulaire ne sait pas qu’il s’agit parfois d’homosexuel.
Dans nos mœurs, il n’est pas évident de concevoir notre conjoint ou conjointe nous quitter pour quelqu’un d’autre, encore moins un homo. Aujourd’hui, avec la liberté individuelle force est de constater que beaucoup se sont découvert une psychologie sexuelle caractérisée d’un penchant homosexuel. De plus, des textes juridiques ont été publiés en vue de protéger les personnes homosexuelles.
Cependant, dans le contexte d’infidélité d’un conjoint qui présente parfaitement une psychologie sexuelle hétéro d’apparence, mais qui au fil du temps revendique une vie sexuelle homo, tout porte à croire qu’ils sont nombreux qui s’engage dans des mariages en ayant connaissance de leur état. Mais parce que la société, la famille, les amis et collègues présenteraient des contraintes, beaucoup se cachent, espérant vivre secrètement leurs penchants.
Mais qu’advient-t-il des cocufiés, les personnes laissées pour compte ? Qui s’en soucie ? Bien entendu on respecte les textes qui protègent les droits des homosexuelles, mais le gouvernement doit également penser à mettre en place des structures qui prennent en charge des victimes d’un triangle amoureux homosexuel. Des versements d’indemnités suite au préjudice par exemple, un suivi psychologique pourquoi pas etc.
Le mieux à faire quand on est informé de son statut, c’est-à-dire de ses penchants homosexuels, serait de ne pas s’aventurer dans un mariage ou dans une relation quand bien même on sait que notre conjoint découvrira la supercherie tôt ou tard .Que chacun assume donc ses choix.