« Quid de PATIENCE DABANY, après tant de labeur fourni pour détruire les autres artistes pour s’imposer ? » dixit Norbert EPANDJA.

Depuis que PATIENCE DABANY se sert de son pouvoir BONGO-PDG pour détruire les carrières musicales des autres artistes pour qu’elle soit la seule à chanter au Gabon, je suis toujours à la recherche des preuves de son efflorescence sur le plan international, à l’instar des autres chanteuses du Cameroun, de Côte-d’Ivoire, du Sénégal, du Mali, etc.

Le talent, ça ne se décrète pas, ça ne se force pas, ça ne s’arrache pas et ça ne se transmet pas d’un artiste à un autre par un simple jeu d’élimination de l’autre pour prendre sa place. Avec tous les milliards dont elle dispose, PATIENCE DABANY serait aujourd’hui une véritable diva de la chanson africaine, si elle avait le talent qu’elle prétend avoir.

En musique, il faut avoir la faculté de composer de belles chansons et disposer d’une belle voix qui les porte au-delà des frontières. Si je reconnais que PATIENCE DABANY a une voix et des chansons qui passent bien au Gabon, elle n’a pas les qualités vocales qu’il faut pour les hisser à l’international. Elle le sait très bien. C’est pour cette raison qu’elle ne rate aucune occasion pour se vanter, en se faisant passer pour la plus grande chanteuse gabonaise internationale, qui chante dans plusieurs langues (avec une telle médiocrité vocale d’ailleurs).

PATIENCE DABANY n’est qu’une grande jalouse, qui n’aime pas voir les autres artistes évoluer. Quand elle n’arrachait pas, par la force, les chansons créées par d’autres personnes pour les chanter dans son groupe d’animation KOUNABELI, elle mettait tout en œuvre pour détruire les artistes qui émergeaient.

M’adressant aux petits émergents opportunistes et zélés, qui racontent que je n’ai qu’une seule chanson, et qui croient qu’avec ça ils peuvent me déstabiliser, je voudrais rappeler que j’ai commencé à créer des chansons à l’âge de 13 ans. Et je les chantais avec ma guitare sèche à la télévision gabonaise dans les années 70, dans des émissions telles que : Au claire de lune, Samba Samba, Une chanson une province, etc.

En 1979, j’ai participé avec grand succès au premier festival international de la francophonie, à Nice en France, devant un grand public composé de toutes les races, et suis sorti de là parmi les meilleurs chanteur de la soirée.

Je suis le premier chanteur originaire de la province du Haut-Ogooué à produire un disque de niveau international : Mon premier album « Mon pays que j’aime », sorti en 1980. Cet album fut un succès international avec des titres tels que : Mon pays que j’aime, Moanda, Je vis sans amour, Tara mè, etc., diffusées dans des radios internationales telles que : Radio France, la Voix de l’Amérique, Radio Moscou, etc., et dans presque la totalité des grandes radio africaines. Mes deux derniers titres en date, sortis en 2022, sont : ANTSIEMI et MA PETITE-FILLE DINA.

Il fallait briser ma carrière musicale. Et là, PATIENCE DABANY et son clan se sont servis de leur pouvoir BONGO-PDG pour faire courir une rumeur selon laquelle, j’aurais dit dans une de mes chansons que « Moanda c’est la ville des oiseaux ». Une affaire tellement ridicule à l’instar de son KOUNABELISME, que seuls les idiots peuvent croire.

Comme si cela ne lui suffisait pas, lorsque je me battais pour les droits d’auteur, PATIENCE DABANY a composé toute une équipe d’artistes dont le travail consistait à combattre chaque action que je menais. Résultat des courses : après avoir créé et mis en place le Bureau Gabonais des Droits d’Auteur (BUGADA), les 25 février et 27 avril 2012, ce sont ces artistes-là qui, curieusement, en sont les principaux bénéficiaires aujourd’hui.

Norbert EPANDJA

-Président du Collectif du Haut-Ogooué Libéré (CHL)

-Président de la Commission Citoyenne d’Enquête (CCE)

-Auteur d’un livre

Paul Essonne

Journaliste

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