Dans la paisible nuit du 10 janvier 2024 a, à Nzeng-Ayong plus précisément Nkoaza, une femme se retrouve seule avec ses quatre enfants alors que son conjoint, un policier, est de garde. Ce qui aurait dû être une nuit ordinaire se transforme en cauchemar lorsque, vers 1 heure du matin, sa fille aînée de 11 ans découvre qu’un intrus se trouve dans leur maison.
Réveillée en sursaut, la mère, épuisée par une journée de travail éprouvante, réalise avec effroi la menace qui plane sur sa famille. Déterminée à protéger les siens, elle tente de dissuader l’intrus en lui offrant ses biens de valeur, mais en vain. Une lutte acharnée éclate entre elle et l’assaillant, qui finit par prendre le dessus et commet l’impensable: viol.
Après cet acte abominable, la mère, meurtrie et traumatisée, trouve le courage de riposter et parvient à mettre en fuite son agresseur. Cependant, les séquelles psychologiques et la peur constante de représailles les plongent dans un état de terreur permanent.
Face à l’incompréhension des autorités et au manque de soutien, la famille lutte pour surmonter le traumatisme et reconstruire leur vie brisée. Des démarches judiciaires sont engagées, mais le sentiment d’insécurité persiste, les contraignant à vivre dans la crainte et l’angoisse.
Dans un appel à l’aide désespéré, la mère lance un appel, réclamant justice et sécurité pour sa famille. Car au-delà de leur douleur, ils refusent de céder à la peur et aspirent à voir l’agresseur répondre de ses actes devant la justice.
