« Faire les affaires avec le groupe Bolloré va entrainer des conséquences », affirmait un invité lors de l’inauguration de cette infrastructure par les autorités. Quelques mois après, la cogestion de ce port entre Bolloré et GSEZ complique davantage le travail sur cette plate- forme, ce qui a pour conséquence la non livraison à temps de la marchandise auprès des fournisseurs.
Ainsi, au terminal à conteneurs, l’on enregistre des logistiques et de transport, car la nouvelle architecture portuaire à du mal à approvisionner ses clients asiatiques en produit Okoumé, matière à partir duquel il s’exprime avec passion et amour. La livraison accuse donc un gros retard au regard des difficultés de transport et logistics. Au finish plus de zone de stockage des caisses de placages, précise un opérateur économique.
La problématique de la logistique locale avec des délais de livraison qui n’arrange les acheteurs met en difficulté ces derniers avec l’achat des terrains coûteux s’est exclamé un client.
Difficile pour GSEZ d’avoir de bon résultats dans cette mauvaise cogestion avec le groupe Bolloré qui a du mal à investir au Gabon et préfère s’agripper sur un projet dont- il sait très bien qu’il n’a pas la paternité, après avoir fait des menaces…Pourtant, l’on sait que c’est GSEZ qui avait financé les travaux du nouveau port.
L’exportation de 300 à 350 conteneurs de facette d’Okoumé par mois sur le marché indien devient impossible à cause du groupe Bolloré qui certainement décide de vouloir faire dans du désordre. Il revient aux autorités de régler cette affaire afin de véritablement donner un sens à la diversification de l’économie gabonaise, source de richesse.