« L’USTM brisée : De la responsabilité des ministères des travaux publics et du pétrole » dixit Sandrine NGUÉMÉBÉ.

Les images insoutenables qui circulent dans les réseaux sociaux, sont révoltantes. Leur contenu assomme d’un coup dans le ventre !

En dénonçant, en mettant en filigrane la précarité insolente dans laquelle évolue nos compatriotes à l’université des Sciences et Technologie de Massuku (USTM), elles peuvent amener à condamner rigoureusement, sévèrement le ministère de l’Enseignement Supérieur alors que la vérité est à rechercher ailleurs.

L’environnement académique y est bouillonnant. Insalubrité, pollution, précarité, ruine, indécence… Des images partagées qui trahissent plutôt l’incompétence et l’épistémicide des ministères des Travaux Publics et du Pétrole.

La vérité est souvent dure à croire !

En effet, les panneaux encore bien en place sur les lieux, dans ce grand établissement supérieur jadis un bijou, indiquent bien les travaux à entreprendre. Tout y est.

Depuis 3 ans.

Depuis 3 ans !

3 ans !

On peut y lire avec ou sans lunettes, la non implication du ministère de l’Enseignement Supérieur. Il suffit de prendre le temps nécessaire de parcourir les indications. Les ministères des Travaux Publics (les TP) et du Pétrole (PID-PIH) sont responsables de l’effacement progressif de l’USTM, les travaux sont aux arrêts et l’environnement de plus plus invivable. À eux de rendre compte.

C’est tout !

Le devoir moral de nous le dire.

Fin finale !

Sandrine NGUÉMÉBÉ ENDAMANE

Paul Essonne

Journaliste

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