L’inquiétude d’un « oncle ».

Je tiens d’abord à m’adresser à toutes celles et à tous ceux qui me soutiennent dans l’action politique, que je mène dans notre pays. Je ne veux pas leur causer de désagréments en utilisant ces réseaux sociaux qui aujourd’hui, deviennent une tribune qui servent de plus en plus à détruire qu’à informer et éduquer.

L’homme de vérité que j’ai toujours souhaité être, ne peut évidement pas accepté qu’on utilise des informations qui peuvent nuire, lorsqu’elles ne sont pas fondées et qu’aucune preuve tangible ne les accompagne. Je m’adresse tout particulièrement à celui qui désormais m’appelle son « oncle », il s’agit de Monsieur Jonas Moulenda.

Cher « neveu », je souhaiterai qu’à partir de maintenant, vous ayez un minimum de respect pour ma modeste personne et pour ma vie privée. L’expression que vous avez employée pour me caricaturer je cite : « cheveux blancs en haut, cheveux blancs en bas, cheveux blancs certainement au milieu », ne vous honore pas mon cher « neveu ».

Cette expression ainsi utilisée par vous Monsieur Moulenda mon cher « neveu », frise l’injure et la provocation.

Homme marié légalement dans un régime polygamique, ma vie privée n’ a rien avoir avec la politique du Gabon. Et quand je parle de vie privée, j’englobe aussi ma vie sociale et familiale. Je voudrais fraternellement vous conseiller, de trouver une autre manière plus responsable et utile, d’animer votre émission sur les réseaux sociaux. Et aussi, de vous éloigner du panneau publicitaire que vous semblez apprécier.

Monsieur MOULENDA, mon cher « neveu », parlez des choses vraies pour qu’ensemble on construise notre pays le Gabon. Si vous avez des ambitions politiques, venez chez vous au Gabon exercer ce nouveau talent de donneur de leçons.

Au pays, on peut vous aider à faire des propositions concrètes pour un projet de société. J’ose croire que ça ne saurait être un exercice difficile pour le « grand » journaliste que vous êtes.

Cher Monsieur Moulenda. Le Gabon notre pays à tous, ne sera jamais dirigé de l’extérieur. Paris la capitale de la France où vous résidez, est accessible à tout le monde. C’est pour vous dire cher neveu, qu’un homme averti en vaut deux.

Je ne saurai terminer cette missive, sans vous donner des nouvelles de celle parmi toutes mes femmes, qui vous fait battre le cœur. Lyne va bien. Essayez de la ménager car en tant que mon « neveu » donc mon « héritier », vous aurez cette lourde charge, de veiller sur elle.

Paul Essonne

Journaliste

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