L’enfant africain, quel avenir ?

En Afrique, un enfant est considéré comme une richesse à garder précieusement et jalousement. Avec les violences et les sévices corporels que subissent de nombreux enfants dans le monde, il en va de la communauté et des parents de les protéger physiquement et moralement. C’est dans le prisme des coups, des blessures et de souffrance que le devenir de l’enfant africain se pose. Pour accompagner l’initiative, une journée pour l’enfant africain est commémorée chaque 16 juin.

Pour essayer de combler le retard du développement de l’Afrique en matière d’infrastructures, des outils sont mis en place au travers de l’entreprenariat et la promotion de la création des Petites et Moyennes Entreprises chez les jeunes qui ont décidé de mettre la main à la patte. Ce genre d’actions a pour objectif de préparer l’essor économique du continent dans l’optique de répondre aux exigences financières mondiales.

La jeunesse africaine n’est pas qu’essentiellement impliquée sur le plan économique, elle intervient également sur le plan politique et administratif. Plusieurs jeunes sont même nommés et occupent des postes clés dans la haute administration de leur pays. On a le cas de la Namibienne Emma Theofelus devenue à 23 ans la plus jeune ministre en Afrique. C’est le Président de la Namibie Hage Geingob qui l’a nommée Vice-ministre des Technologies de l’Information et de la Communication de la Namibie. C’est un exemple de la vitalité des jeunes africains mobilisés dans l’organisation de leur pays.

La diaspora africaine n’est pas en reste. Elle apporte aussi un vif élan de solidarité à l’Afrique de par la mise en place des programmes de soutien de développement, de formations à l’étranger pour les jeunes dans diverses spécialités.

Etant un continent jeune, l’Afrique attire de nombreux investisseurs venant d’Asie (la Chine), l’Europe (l’Angleterre), l’Amérique (les Etats-Unis), son futur passe par un partenariat associant la jeunesse, force vive d’énergie. Cette jeunesse qui est également riche des aspirations relatives à l’existence donc un possible questionnement sur le futur et l’avenir. De ces différentes démarches, l’enfant africain peut envisager voir son devenir être meilleur.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *