Le Coronavirus tuant tous les jours, il est tout à fait légitime de voir s’installer doutes et appréhensions devant le seul vaccin de l’humanité mis en place en un temps record, en moins d’un an de l’apparition du Covid-19.
En effet, on parle de bénéfice/risque du vaccin anti-Covid. Certains affirment que le vaccin est perturbateur hormonal. Le vaccin anti-Covid de Pfizer ou Moderna, par exemple selon les textes fournis par les laboratoires aux agences régulatrices comme l’Agence du médicament européenne (EMA), la protéine Spike qui est produite à partir du vaccin par le corps lui-même doit plus ou moins rester à l’endroit de l’injection du vaccin. Mais en fait, on la retrouve partout dans les organes. On la retrouve dans le cerveau et on la retrouve dans le foie. On la retrouve également et c’est là où il y a un effet hormonal dans les ovaires et dans les testicules. Et dans les ovaires, ça a un effet délétère sur la formation des follicules et des ovules
Pour rappel, le vaccin anti-Covid est un produit toujours expérimental, qui est en phase d’essais cliniques, donc en matière d’essais cliniques. Il faut donc être très prudent. Les essais cliniques ne seront finis qu’en 2023. Autrement dit, il faut une extrême prudence avec un produit qui est expérimental et que l’on ne l’utilise pas dans une vaccination de masse. En temps normal, il faut environ 8 à 12 ans pour qu’un vaccin soit autorisé mais l’urgence de la pandémie et le nombre soi-disant catastrophique de morts a incité les gouvernements à accepter des autorisations temporaires de mise sur le marché, sans aucun recul sur les conséquences sanitaires d’une telle décision.
Aussi, les vaccins anti-Covid de types prophylactiques sont totalement inappropriés, et même très dangereux, lorsqu’ils sont utilisés dans le cadre de campagnes de vaccination de masse lors d’une pandémie virale.