L’index de la Transparence de l’Aide, compilé par la campagne pour la transparence de l’aide « Publish What You Fund », classe le PNUD comme deuxième organisation la plus transparente dans le monde, ce qui la place en tête du système des Nations Unies. C’est le sixième rapport de ce type, qui cette année évaluait 45 des plus grands pourvoyeurs d’aide et de financement au développement.
Avec un score de 95,4%, le PNUD enregistre une hausse de 2,1 points de pourcentage par rapport au dernier index, publié en 2016. D’autres organisations évaluées pour l’indice ont aussi amélioré leurs propres scores, stimulées par le rôle de chef de file du PNUD dans la recherche de la transparence.
« La transparence est la base de notre travail. Nous nous efforçons continuellement de trouver des moyens efficaces et innovants de garantir notre objectif d’être un partenaire digne de confiance pour tous ceux qui s’intéressent à notre travail », a déclaré l’administrateur du PNUD, Achim Steiner.
Le PNUD s’est engagé depuis longtemps pour la transparence. En tant que membre de l’Initiative internationale pour la transparence de l’aide (IITA) depuis sa création en 2008, l’organisation a mené des campagnes de sensibilisation avec les pays partenaires et les agences des Nations Unies pour promouvoir la transparence dans l’aide au développement et le financement de l’humanitaire.
A ce sujet, M. Steiner a déclaré : « Nous sommes très heureux du classement de cette année et fiers d’avoir amélioré notre performance globale. Nous nous félicitons également du nombre croissant d’organisations qui ont décidé de suivre les règles de la transparence et de participer à l’Initiative. »
Depuis l’examen de l’indice de transparence de l’aide de 2016, le PNUD s’est notamment amélioré à travers la publication de l’information financière de ses projets en respectant la norme de l’IITA.
« Nous sommes constamment à la recherche de nouvelles manières d’innover et notre nouvelle plateforme de transparence en est un parfait exemple. Désormais, le monde peut avoir accès à nos données et mieux comprendre la manière dont nous fonctionnons, où nous travaillons et quels sont nos résultats », a conclu M. Steiner.