Pour une meilleure expansion de l’économie dans un pays, la concurrence en est la clé. Elle pousse les entreprises à s’améliorer de temps en temps afin d’être les meilleures. Mais le malheur est de constater qu’au Gabon seul un secteur, celui des télécommunications répond aux critères d’un excellent.
Qu’en est -il des autres secteurs ? La question est plus que pertinente et ce au regard de toutes les défaillances de l’économie gabonaise. Sport, Energie, Import-export Alimentation, aucun de ces secteurs n’est en position de concurrence. La conséquence : des citoyens gabonais qui sont contraints de faire avec les moyens de bord. Les raisons de cette situation semble plus qu’évidente : Le manque de transparence et la suffisance dans les marchés frauduleux.
Les questions en rapport avec le marché concurrentiel au Gabon reste sans réponse. Le cas est encore plus prononcé pour les PME locales, le cas s’illustre notamment avec les grandes entreprises qui ne partagent pas le marché avec les PME, La présence de l’État dans le capital social des PME, la grande quantité de taxe, le réseautage complexe pour l’obtention des marchés et l’implication de l’État sur l’attribution des marchés. Aucune élaboration, aucun suivi, aucun respect des normes relatives au marché concurrentiel. Pourtant, le Gabon tant à peindre une image d’un pays qui vise à redresser son économie.
Une analyse, qui remet en cause les stratégies en rapports avec le projet d’une économie forte. La main-d’œuvre serait- elle absente ? Les formation ne sont-elles pas adéquates ? Pourquoi certains secteurs gardent le monopole du marché ? Pour certains il semblerait que des grandes entreprises vont aller jusqu’à limoger, étouffer et éradiquer quelques PME de manière subtile, afin de conserver le monopole.