Alors que certains élus locaux de la circonscription s’entre-déchirent au glaive sur les réseaux sociaux pour des strapontins a venir, à l’issue des élections locales auxquelles ils ont prit part dans le deuxième arrondissement de Libreville, le Député Jacques Massala quand à lui, pourrait connaître le couronnement de sa victoire aux élections législatives 2018.
En effet, la distribution des postes au terme d’un processus électoral a toujours été un péché mignon pour les responsables politiques du parti au pouvoir dans l’arrondissement.
Cependant, selon les dernières tractations actuellement en cours à Rabat au Maroc, dans l’optique de la formation du futur gouvernement de la République, le néo Député PDG du 2ème siège du deuxième arrondissement devrait logiquement faire son entrée dans cette équipe gouvernementale.
L’homme, selon certaines sources concordantes reflète un visage nouveau dans l’arrondissement dont les ambitions ne cadrent pas avec les habitudes anciennes de la stratosphère politique locale.
Le mérite de Jacques Massala pourrait venir récompensé les efforts d’un militant fidèle que l’on sait très proche d’Ali Bongo Ondimba. Dont le baroud d’honneur est d’avoir terrassé au second tour l’irréductible opposant Faustin Laurent Billie Bi Essone, ancien député et candidat de RHM (Rassemblement Héritage et Modernité). Après Jean Eyeghe Ndong, alors pédégiste, qui avait battu Paul Mba Abessole, Jacques Massala est le second candidat du parti au pouvoir à entrée au Panthéon de l’histoire politique du deuxième arrondissement pour avoir laminé un hydre de l’opposition.
Plusieurs fois marginalisé dans une circonscription où le repli identitaire s’est fortement exprimé tout au long de la campagne électorale, Jacques Massala est défini aujourd’hui comme un candidat de l’interposition. Étant issu des rangs des couches sociales défavorisées de l’arrondissement. La très grande proximité qu’il échange avec les populations serait également un atout majeur et indéniable pour cette promotion gouvernementale très attendue estiment pour leur part certaines autres sources.
Des facteurs de fidélité et loyauté qui obéiraient à la vision impulsée, depuis son avènement à la magistrature suprême du pays, par le Président de la République Ali Bongo Ondimba.
