Le Centre National de Transfusion Sanguine(CNTS) a entamé depuis quelques temps déjà une campagne de sensibilisation dans les établissements publics et privés de Libreville le vendredi 1er mars. Campagne de sensibilisation axée sur l’importance du don du sang. Le tour est revenu au lycée Nelson Mandela de recevoir les agents de la cellule de communication du CNTS.
« Nous nous retrouvons au lycée Nelson Mandela ce jour dans le cadre de la campagne de sensibilisation qui porte sur l’importance du don de sang. Cette opération de charme qui va nous conduire dans la majorité des établissements publics et privés de la capitale gabonaise participe de la volonté de matérialiser la politique de ‘’santé pour tous les citoyens’’, l’objectif étant bien entendu d’inciter ou d’amener les citoyens à avoir la culture du don de sang. Et puisque le don de sang se fait d’humain à humain, nous nous rapprochons des donneurs tant réels que potentiels et les établissements secondaires sont à juste titre des foyers de donneurs potentiels. Nous voulons les amener à réaliser non seulement l’importance de faire un don de son sang, mais aussi de considérer ce geste comme une seconde nature » a déclaré le responsable de la communication du CNTS Ngomo Mba Yannick.
Le don de sang est un acte volontaire et libre, et faire du don de son sang procède du désir de donner la vie. C’est un comportement qui devrait devenir naturel. Chaque jour, chaque seconde, dans le monde, les gens de tous les âges, de tous les sexes ont besoin d’être transfusé. Le Gabon n’échappe pas à cette exigence sanitaire. Chaque jours, chaque seconde, il y a des accidents sur les routes, les catastrophes naturelles, nos parents tombent malade ; L’intérêt de donner notre sang devient plus que grandissant et nécessaire. Il est donc impérieux de conscientiser la jeunesse sur le caractère humain de faire un dong de son sang. Faire un don de son sang est un acte d’amour ; D’où l’utilité de cette caravane qui sillonnent les établissements secondaires. Donneur un jour, receveur un jour, nous sommes tous concernés.