Le phénomène de coupure intempestif de Dame SEEG refait surface. Les habitants de Libreville et ses environs subissent des désagréments avec des pertes en matériaux électroménager, en vivre frais et autres. Malgré le programme de délestage mise en place par la société d’énergie et d’eau du Gabon(SEEG), le calvaire des coupures d’électricité de 22 heures à 6 heures du matin complique davantage le quotidien des Gabonais. Un état de fait que dénoncent certaines familles qui ont du mal a trouvé le sommeil.
« On ne comprend plus la SEEG. Depuis que Véolia est partie nous vivons un véritable calvaire avec ses délestages et nous perdons des vivres frais » a regrété Patrick un habitant du quartier Nzeng-Ayong.
Idem pour Solange « finalement la SEEG nous rend la vie dûre je dors maintenant dans la chaleur avec des moustiques, car il m’est impossible de brancher le ventilateur par absence d’électricité ».
Pas plus tard que hier mardi 19 mars la zone de dragages s’est retrouver dans le noir durant des heures. Outre Nzeng-Ayong, mindoubé 1, 2, 3, kinguélé et avéa le constat reste le même. Les familles et autres commerces subissent des coupures, une situation de trop pour les populations. Lesquelles s’interrogent sur la fin de ce calvaire de la société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), unique fournisseur d’électricité au Gabon et autrefois sous tutelle des managers français.