De sources concordantes parlent d’un retour au Palais présidentiel de Maixent Accrombessi comme directeur de cabinet du chef de l’Etat, poste qu’il a occupé sept(7) ans durant auprès du président de la république, Ali Bongo Ondimba. Le bilan de Maixent Accrombessi a été plus que médiocre, il a passé plus de temps dans les intrigues et malversations financières ayant conduit certains de ses proches à la maison d’arrêt de Libreville communément appeler « prison centrale » pour « détournements des deniers publics » au lieu d’aider le pays a connaître une véritable transformation dans tous les domaines….Ce retour s’il s’avère vrai, s’effectuera au moment où s’ouvre la session de la Cour criminelle jugeant ses ex- protégés, surtout au moment où cette Cour a besoin des témoins.
Le retour de l’ancien directeur de cabinet, devenu par la suite haut représentant personnel du Chef de l’Etat, en la personne de Maixent Accrombessi donne de la sueur froide au Palais du bord de mer, la crainte est là, surtout la peur, car personne ne l’apprécie. La rumeur s’amplifie non seulement dans les réseaux sociaux, mais également par une certaine presse souvent antinomique au Chef de l’Etat qui semble être informé par l’entourage des proches collaborateurs des deux personnages à savoir Laccruche Alihanga, l’actuel directeur de cabinet du président de la république et Maixent Accrombessi son ex- mentor.
Les supporters de Laccruche s’activent pour que cela ne se transforme pas en réalité, par contre les « Accrombessi boys » se mettent à croire que le bon temps passé peut revenir pour bien se venger.
Une comparaison en toute objectivité s’impose entre Laccruche et Accrombessi. En commençant par Maixent Accrombessi, son nom est associé à la légion étrangère venue forcement piller le Gabon. C’est lui qui a amené le Chef de l’Etat à perdre son temps à faire la guerre à ses compatriotes, il a instauré la forfaiture, la poltronnerie et l’incompétence au sommet de l’Etat. Il a aussi instauré les escadrons du vice avant de régner par la terreur. La conséquence de sa collaboration avec le Chef de l’Etat a été les détournements massif des fonds, les quels ont ruiné la politique de l’émergence à l’horizon 2025. De manière non exhaustive, la crise sociopolitique et économique que travers le Gabon est du à Maixent Accrombessi. Aussi, il vient d’être débouté de plusieurs chefs d’accusations au tribunal de première instance de Paris, en l’occurrence « les crimes rituels » ce qui prouve qu’il n’a pas fini de ternir l’image du Gabon. Son éventuel retour au premier plan ne pourrait que précipiter le Gabon dans un chaos, tant les rancœurs et les amertumes contre lui sont encore saignante, attention !
S’agissant de Laccruche Alihanga, l’histoire retiendra qu’il a remplacé Bouguikouma, qui lui avait succéder à Accrombessi. Du temps de sa gloire, Accrombessi considérait l’actuel directeur de cabinet comme son poulain bref.
Avant, Laccruche Alihanga a offert des tables, des parasols aux femmes commerçantes du pk5, des formations de conduites dans les auto- écoles au quartier cité Mébiame, à Akanda, que dire de la réfection des établissements et des kits scolaires à l’endroit des jeunes élèves et autres. Aujourd’hui, devenu directeur de cabinet, Laccruche montre sa loyauté au Chef de l’Etat, il occupe le devant de la scène, les lignes bougent. Il a aidé les populations a en finir avec le calvaire du groupe Véolia, dans le cadre de la distribution de l’eau et de l’énergie, une décision courageuse saluer par l’ensemble de la population, loin de faire l’apologie de son action, nous relevons aussi que l’homme sait que ce sont les populations fragiles et défavorisées que le Chef de l’Etat doit apporter en premier son assistance.
Voilà brossés, les portraits des deux protagonistes, chacun peut désormais faire son choix entre Maixent Accrombessi et Brice Laccruche Alihanga qui des deux peut véritablement servir le Chef de l’Etat. Brice Laccruche Alihanga passe favorablement haut la main en cas de vote. Car le pays n’a que trop souffert des détournements de fonds publics, des voyages d’avions avec des jeunes filles accompagné du champagne, des délires payés au frais du contribuable qui n’en profite pas au Gabon à Maixent Accrombessi de le comprendre une bonne fois pour toute, que les gabonais ne veulent plus de lui, à cause des blessures laissées.