La société civile, une tueuse silencieuse de l’environnement.

Un environnement sain peut être considéré  comme étant une structure hospitalière qui détient un plateau technique répondant aux normes internationales de l’organisation mondiale de la santé(OMS), selon les spécialistes de la faune et de la flaure. 

 Au Gabon, il existe une c société civile responsable  qui défend la cause proprement dite de l’environnement  immédiat de l’Homme et une autre   exerçant dans le domaine commercial. Elle  est à la recherche  du plus offrant c’est ce que  fait  la dernière cité parce que jusque-là ne cherchant pas à défendre la cause de l’environnement.

Où est donc passé  l’ONG Braint Forest  qui on le sait ne tardait pas à réagir soit par  communiqué ou par conférence de presse dans la perspective de sensibiliser l’opinion sur la  dégradation de l’environnement  avec ses corollaires. Que dire du ROLBG  qui aujourd’hui  fait  du chantage à certains opérateurs économiques  de l’arrière pays  pour évaluer leurs enquêtes.

Comment comprendre que la société civile arrive à garder le silence au sujet de  la découverte des pécules de carburant  sans pour autant vociférer dans les médias et dans leurs sièges. Normal, aujourd’hui, le meilleur intérêt se trouve ailleurs avec le nouveau mangement « Appel à Agir ». Cette nouvelle organisation  a pour but « le gain ». Et après avoir certainement ruiné le défunt AMO et Jean Ping, s’en prend désormais  aux hommes politiques du pouvoir en place.

Pour une première sortie à la chambre de commerce ils ont réussit à faire agir le gouvernement  avec un communique  donc voici la teneur  « Depuis quelques jours, le Gouvernement de la République constate, pour le déplorer, que certains de nos compatriotes, leaders de partis politiques, responsables syndicaux, membres de la société civile, s’illustrent par des actes et des propos désobligeants à l’égard des personnalités politiques tout en appelant à la désobéissance et à la rébellion contre les institutions régulièrement établies ». La stratégie apparemment semble être sur le point d’aboutir et le gain ne saurait tarder d’ici là pour calmer  cette société civile.

La problématique de l’environnement avec la découverte des pécules de carburant semble ne plus être l’affaire de la société civile gabonaise qui a compris que le meilleur moyen d’avoir vite de l’argent est de se réunir et pondre un communiqué en menaçant  les autorités mais pour combien de temps ?

Thierry Mebale Ekouaghe

Directeur de publication, membre de l'UPF (Union de la Presse Francophone) section Gabon, Consultant en Stratégie de Communication, Analyste de la vie politique et sociale, Facilitateur des crises.

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