La rentrée scolaire effective depuis le 2 septembre 2024, la rentré scolaire évolue timidement et fais des uns et des autres des angoissés et des malheureux.

Cette rentrée scolaire est particulièrement marquée par la promptitude des agents du ministère de l’éducation nationale et la vigilance du CTRI à faire respecter les mesures de gratuités de la scolarité ( inscriptions, assurances) dans des structures scolaires publiques. Mais certains étant habitués à l’ancien système de l’ancien régime où la gratuité de la scolarité était un mythe pour  s’enrichir sur le dos des parents lambdas pour se  procurer du plaisir.
Ces personnes qui n’ont pas encore compris ni accepté que l’heure est non seulement  au changement de régime, mais également au changement de la moralité et de la responsabilité a cela s’ajoute des valeurs  : avoir un esprit patriotique pour son pays en l’aimant et en y donnant du sien pour les autres. Des inscriptions payantes se poursuivent dans certains établissements de la capitale gabonaise. Conséquences, interpellation de x et y des responsables des différents établissements sur le territoire national.
Pourquoi faire payer l’inscription malgré des mesures prises par l’État envers ces établissements publics et Laïcs ? N’est ce pas là, une expression de mauvaise foi, ou tout simplement d’un boycott envers les autorités de la transition dont l’objectif principal est la reconstruction du Gabon dans tous ses aspects, en venant en aide aux parents en cette période de rentrée scolaire, ce qui n’était pas le cas avec le pouvoir déchu d’Ali Bongo Ondimba.
Père Paul MBA Abessolo l’avait pourtant crié haut et fort en 1993 qu’ est possible  que l’école et l’hôpital soient cadeaux pour tous au Gabon. Si l’arrivée du CTRI à la tête du pays entame enfin ce processus louable et salutaire, certaines individus aux esprits corrompus vaccinés du sérum « bongoiste » n’arrivent toujours pas à s’y défaire. Car autrefois, l’adage du mouton broute où il est attaché faisait  pousser des ailes aux brouteurs. Ici c’est la même pièce qui est le Gabon, mais du revers qui est la transition et donc la reconstruction…

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