Journée internationale des droits de la femme:/ La FAPAG et le CENAREST collaborent pour promouvoir la culture du riz au Gabon.

A l’occasion de la journée internationale des droits de la fe »mme, la fédération agricole des promoteurs de l’agrobusiness au Gabon(FAPAG) et le centre national de  la recherche scientifique et technologique(CENAREST) ont co-organisé une conférence débat axée sur la culture des variétés de riz au Gabon qui concernaient essentiellement les femmes et les jeunes filles. Le condensé de la conférence livré ici par l’oratrice du jour Yombo Pétronille Ndzonghas. 

 » C’est la journée internationale des droits de la femme, mais également la présentation de notre  organisation qui est la FAPA.
Ce qui étai au programme, c’était le thème sur la journée internationale du droit de la femme. Et aussi la présentation sur la semence du riz. Mais également la présentation de la de la FAPA.

Pourquoi le riz concrètement ? Le riz, c’est simplement parce que c’est l’aliment le plus consommé dans nos ménages. Et vous vous imaginez que tout ce que nous consommons jusqu’ici, c’est sont des produits importés.

Et si aujourd’hui dans nos échanges ou encore dans notre organisation avec le concours de la PNSAV  et du Cenarest, nous venons vulgariser la culture du riz. Ça fera en sorte que les importations de riz soient réduites et que nous ayons du riz de qualité.

Donc le riz, c’est un aliment qui est beaucoup consommé. D’où l’intérêt de vulgariser  qui revêt un caractère beaucoup plus économique, mais également social.
Est-ce que c’est facile justement pour elles ? C’est facile, je dirais oui, je dirais non, s’il y a de la volonté, oui.

Non, si on veut simplement se faire de l’argent lorsqu’on veut cultiver du riz. Mais si on est passionné du riz, on veut véritablement faire en sorte que ce secteur se développe. Donc je trouve que c’est la filière devient facile pour les acteurs du monde agricole..  justement,  pour accompagner ces jeunes personnes qui veulent se lancer dans la culture , on est en train d’étudier comment  négocier un partenariat afin de former nos coopératives dans le domaine et  la filière du riz. Et sortant de là  on verra comment les acteurs pourront s’intéresser au secteur c’est une filière qui n’est pas encore connue des acteurs du monde agricole ».

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