Une certitude s’impose. La visite du deuxième homme le plus riche du monde l’américain Jeff Bezos au Gabon n’est pas anodine. L’observation atteste que ce bouleversement sera dans le meilleur des cas à l’origine d’une prise de conscience. Le destin se lie parfois avec la magie d’une coïncidence.
Entre les tensions géopolitiques, les pénuries de produits alimentaires de base, la hausse des prix des matières premières et de l’énergie, le ralentissement de la croissance économique, sans oublier la hausse marquée des taux d’intérêt, l’investisseur ne sait plus comment investir pour sortir gagnant d’une situation aussi incertaine. Pourtant, la forte volatilité et les corrections sévères qu’ont connues les marchés ont créé de nombreuses opportunités dans l’univers très dynamique des petites valeurs gabonaises.
En effet, la continuité de l’économie au sens large ne doit pas être mise en danger. Dans ce but, tous les maillons de la chaîne de production doivent être garantis, des ressources à la production et à la consommation, importations et exportations comprises. Un équilibre est recherché entre le maintien de la santé, qu’elle soit physique ou mentale, et la relance de l’économie.
Dans de nombreux domaines tels que la production, la logistique, la gestion de projet, la comptabilité, le marketing ou encore les médias en ligne. Il existe désormais des systèmes qui permettent de réaliser des tâches autrefois fastidieuses. La technologie représente l’engrais vert de chaque entreprise dont elle irrigue toutes les composantes. Voilà une ouverture pour le Gabon.