Gabon : Tout Homme qui sert le pouvoir actuel peut se retrouver comme BLA un jour.

« L’homme est un loup pour l’homme » selon la citation du philosophe Thomas Hobbes. C’est vrai au Gabon, où quiconque servant le pouvoir peut se retrouver un jour comme Brice Laccruche Alihanga (BLA). L’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, est en prison depuis le 13 décembre 2019, ce qui fait presque 4 ans. Comment peut-on éprouver un tel plaisir à faire du mal à son prochain, alors qu’il est écrit dans la Bible et le Coran « aime ton prochain comme toi-même ».   

L’une des photos ayant fuité montre bien que l’ancien directeur de cabinet  d’Ali Bongo Ondimba est dans des conditions sanitaires peu recommandables à la prison centrale de Libreville. On peut bien se rendre compte que l’homme est amaigri, que dire chétif. «Le gardien du temple du régime d’Ali Bongo Ondimba en 2018, ne mérite pas un tel traitement de la part de ce pouvoir qu’il à servi », clame un citoyen dans un groupe WhatsApp. La suite on la connaît. Un autre a reconnu les bienfaits de BLA « tu as fait du bien aux gens et ceux-là se sont éloignés de toi, jusqu’à te renier. Certains ont profité de ta bonté et de ta générosité, aujourd’hui ils ne reconnaissent plus cela ».

D’André Dieudonné Berre à Rose Christiane Ossouka Raponda, en passant par Julien Nkoghe Bekale, Franck Nguema, et d’autres. On ne veut plus le ressentir, ni même entendre parler de lui. Ces derniers devraient perdre aussi leurs avantages, mais pourtant ils continuent de servir le pouvoir en décidant de le mettre en isolement  peut-être jusqu’à ce que mort s’ensuive. Dieu, Allah peu importe le nom qu’on lui donne est grand, car si la maladie n’arrive pas à lui faire changer, ayons à l’esprit que la mort est un passage obligé. Ce sont les enfants ou les femmes selon ce que le conseil de famille qui assumeront les conséquences.  

En ce temps de carême, il est peut temps que l’on libère les frères Laccruche Alihanga, Jean Remy Yama, Tony Ondo Mba, Ike Ngouoni, Patrichi Tanassa et autres. C’est une opportunité de recevoir les bonnes grâces de l’éternel. Il ne s’agit pas de dire après chaque discours « Que Dieu bénisse le Gabon », mais il est question de mettre notre foi en Dieu en pratique.

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