Non aux Députés et Sénateurs qui valident la violation de la Constitution au lieu de la défendre. Vous etes des traitres, une honte pour notre beau drapeau.
Il existe bien une pandémie COVID au Gabon comme partout dans le monde. Cette dernière doit être appréciée et adaptée aux circonstances de temps et de lieu. S’agissant du Gabon, comme de plusieurs pays africains, avec 2,59% de contamination,99,22% de guérison pour 0,78% de mortalité, cette pandémie au Gabon ne peut être gérée comme une catastrophe sanitaire mais comme un programme, comme l’est le programme de lutte contre le palu, la tuberculose, le VIH, etc…
Le Gouvernement doit cesser de gérer cette crise en faisant du copier-coller de la gestionnaire française ou européenne, les réalités n’étant pas les mêmes.
Chaque Homme Citoyen doit s’apprêter à lancer un message fort aux Députés et Sénateurs de sa circonscription, ces perfides trompeurs, ces corrompus moraux qui ne trouvent en la fonction de parlementaire que le privilège de porter une écharpe, jouir d’une immunité parlementaire dont ils n’en connaissent même pas la valeur et jouir des privilèges financiers qu’offrent cette noble fonction qu’ils souillent chaque jour.
Nous devons restaurer le privilège de cette fonction de Parlementaire dont la mission principale est basée sur le débat et non l’acquiescement.
La loi sur l’urgence sanitaire arrive à échéance bientôt, nous devons dire non à sa reconduction tacite par les traîtres parlementaires gabonais qui au lieu de défendre les intérêts de la Nation, des populations qui les ont élus ou à qui ils ont volé le vote, préfèrent se montrer complice du gouvernement en cautionnant tous ces abus.
C’est une honte pour cette législature, la plus nulle et la plus triste que le Gabon n’est jamais connu. C’est une honte, une honte, une honte pour notre drapeau, vous devriez avoir honte de porter cette noble écharpe symbole de l’engagement à défendre la Patrie et non de la trahir.
Nous nous retrouverons sous peu.
Le gouvernement doit cesser de calquer la gestion de la riposte sur la France, les réalités n’étant pas les mêmes.