« Faut-il attendre le bon Dieu pour régler le problème d’expropriation par des étrangers au Gabon ? » dixit Guy Nang-Bekale.

Trop… c’est Trop ! Puisque l’Etat gabonais a renoncé à sa mission de sécuriser et de protéger les citoyens et leurs biens, les familles gabonaises doivent désormais prendre leurs responsabilités pour se défendre des actes de spoliation commis par les étrangers avec la complicité des Gabonais qui les exproprient de leurs terrains ancestraux.    

Comment des gens venus d’ailleurs peuvent-ils devenir propriétaires des parcelles de terre sur lesquelles des femmes et des hommes ont vécu pendant plusieurs années : ils y sont nés, y ont vieilli, y sont morts et enterrés ?

Est-il acceptable que l’Administration gabonaise vende des terrains sur lesquels des tombes forment un cimetière familial ?

Chers compatriotes,

Puisque le plan qui doit faire des gabonais des esclaves, dans leur pays est en exécution, il faut que chaque famille, chaque citoyen se donne les moyens d’autodéfense pour dissuader et châtier les voyous qui sont en train de mettre ce plan en œuvre. Il ne se passe plus une semaine sans que l’opinion soit informée d’un conflit foncier opposant un Gabonais à un étranger.

Qui permet aux étrangers de bâtir les immeubles jusque dans les quartiers sous intégrés de Libreville, sans signer de baux emphytéotiques avec les propriétaires ?

Qui leur délivre de nouveaux faux titres fonciers, obtenus sans délai, sur des titres fonciers plus anciens; quand un Gabonais attend des décennies pour avoir un TF ?

Si des Libanais, des Sénégalais, des Maliens, des Camerounais, des Chinois, des Français, des Japonais ou d’autres étrangers vivant dans une ville du Gabon veulent valablement prendre part au développement du territoire et à l’amélioration des conditions de vie des populations, qu’ils investissent dans la construction et l’aménagement des hôpitaux, des routes, des écoles, de l’éclairage public etc.

Rarement les étrangers qui viennent au Gabon s’intéressent aux secteurs vitaux du pays cités ci-dessus. Ils s’adonnent au commerce en important au Gabon des produits fabriqués ailleurs pour les vendre en l’état avec des marges bénéficiaires confortables qui leur rapportent des milliards qu’ils investissent dans la construction des immeubles dont les prix des appartements ne peuvent pas être payés par la majorité des Gabonais.

Questions : qui va louer ces logements coûteux ?

Réponse : ce sont leurs compatriotes qui entrent dans notre pays sans formalités.

Voilà comment le pouvoir actuel prépare involontairement ou pas l’Envahissement du Gabon que d’autres nomment le Grand Remplacement.

A ce phénomène s’ajoute celui de la multiplication méthodique et ordonnée des églises dites éveillées et surtout les mosquées qui sont de plus en plus luxueuses et spacieuses.

La dernière fête musulmane a démontré à tous les gabonais qui appellent souvent à la « Ville  Morte » qu’il faut désormais associer les ressortissants musulmans à cet appel pour qu’il réussisse.

Au plan de l’envahissement du Gabon, il faut opposer un plan de Réappropriation du Gabon qui passe par une nouvelle gouvernance opposée à l’actuelle.

Pour cela, il faut se donner les moyens de contrer l’infamie qui conduit à la disparition de notre peuple.

Pauvre Gabon

Guy Nang-Bekale

Paul Essonne

Journaliste

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