Difficile de limiter les sachets et bouteilles plastiques non dégradables.

La promesse de mettre un terme aux déchets plastiques au niveaux des plages, des caniveaux et autres avaient été faite en 2015. Cette dernière avait réjoui les écologistes, cinq (05) ans après rien n’est fait pour limiter les importations des bouteilles plastiques non-dégradable au Gabon.

Quelques grandes surfaces de la capitale essayent de limiter les dégâts avec la mise en place des sachets dégradables, pendant que d’autres les mélanges avec des sachets biodégradable ensuite les vendent. Conséquence, le Gabon continue d’être envahi par ces objets polluants. La preuve, autour de nous des bouteilles plastiques traînent, du centre-ville de Libreville jusqu’aux différents arrondissements et quartiers en passant par le marché Mont Bouét. Dans les départements, cantons et villages le constat est le même l’on se rend bien compte de l’ampleur des dégâts que causent ces sachets et bouteilles plastiques.

Même les cours d’eau de Libreville et autres commune comme celle d’Akanda et d’Owendo sont aujourd’hui jonché de bouteilles plastiques qui se retrouvent à la surface de l’eau, pourtant les démunies venaient pêcher du poisson d’eau douce, des crevettes dans les années 1960. Cette situation semble ne pas déranger les autorités municipales encore moi le gouvernement par le canal du ministère de l’environnement.

Finalement où en somme nous avec la loi du pollueur payant ? Comment sauver la planète si l’on a du mal à mettre en application cette fameuse loi ?

Chimène Okome

Journaliste

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