Arborant des pancartes et brûlant des pneus, les travailleurs expriment leur frustration et appellent les dirigeants à répondre à leurs revendications. Dans un cri d’alarme adressé aux autorités de la Transition, ils réclament des solutions concrètes à leur situation précaire.
Selon les témoignages, les employés attendent leurs rémunérations depuis novembre 2023. Pour Bonneville Enongue, représentant du personnel, cette situation est intenable : « Nous avons ras-le-bol, 5 mois d’arriérés de salaire. C’est trop! »
Malgré leurs démarches auprès de la direction et des autorités, les travailleurs se heurtent à un silence assourdissant. Face à cette impasse, ils se tournent vers la Primature et les médias pour faire entendre leur voix.
Le représentant des grévistes exprime son espoir quant à une résolution rapide de cette crise, mais cette nouvelle saisie met en lumière la responsabilité des employeurs en matière de respect des droits des travailleurs.