Denise Mekam’ne, menace les déflatés de l’hôpital des instructions des armées d’Akanda.

Après avoir été licencié par leur ancien employeur le mardi 15 mai dernier, les 87  déflatés de l’hôpital des instructions des armées d’Akanda  qui cherchaient  à rencontrer  Denise Mekam’ne, ministre d’Etat, ministre de la santé, très en colère à cause de la présence de la presse.  Elle ne voulait pas absolument que l’information soit relayer au risque de perdre sa place et allé s’occuper des affaires de son cabinet a menacé   les représentants des déflatés, Gabin Clément  Moudjegou et le représentant  de l’union des syndicats de l’administration publique(USAP), Amédée Moussavou  qui ont tenu échangé avec qu’elle  dans  l’espoir de voir les choses évoluer en faveur de ses  agents licenciés. Ces derniers  ont plutôt essuyé des blâmes pour avoir parlé à la presse.

‘’ Le ministre nous a fait savoir qu’elle n’a ménagé aucun effort pour qu’ont soient payé  dans le plus bref délai, inversement à d’autres déflatés du Gabon  qui conjugue le verbe attendre.  Le ministre nous a dit, qu’elle s’est battue pour que nous soyons payés rapidement, contrairement à d’autres déflatés du pays qui attendent toujours. Elle nous a également blâmé, a raté de nous infliger un gifle, pour avoir informé la presse de notre révocation abusive’’, a déclaré Gabin Clément Moudjegou.

Malgré  la défense des deux partenaires sociaux, qui dénoncent le licenciement  abusif  des 87 déflatés et le calcul des droits des futurs chômeurs. Malheureusement, ils n’ont reçu aucune  garantie de la part de Denise Meka’ne Edzidzi, ministre d’Etat, ministre de la santé qui sans réfléchir, s’est contentée de dire que les droits des déflatés ont été calculés par des experts et   des deux partenaires sociaux, dénonçant le licenciement des 87 déflatés et le calcul des droits des concernés. Ils n’ont reçu aucune garantie du ministre d’Etat, qui s’est contentée d’expliquer que les droits des déflatés ont été calculés par des experts, venus certainement de Ndjolé(Moyen-Ogooué). Pour  Gabin Clément  Mouddjegou, les décisions du ministre d’Etat ne souffrent et ne devraient souffrir d’aucune contestation. Un argument qui ne rencontre pas l’assentiment du représentant des déflatés.

Paul Essonne

Journaliste

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