Covid-19 : Le COPIL annonce encore deux nouveaux décès.

Au mercredi 5 mai 2021, le COPIL a enregistré 110 nouveaux cas positifs sur 7 108 tests réalisés, soit un taux de positivité  de 1.5%, 52 personnes hospitalisées dont 22 en réanimation pour détresse respiratoire, 98 nouvelles guérisons et 02 nouveaux décès à Libreville (1) et à Port-Gentil (1). 

Aussi, la répartition des nouvelles contaminations s’établie d’abord dans l’Estuaire avec 97 nouveaux cas positifs sur 6 837 prélèvements à Libreville, soit un total de 16  241 cas confirmés ; Ensuite dans le Haut Ogooué avec 01 nouveau cas positif sur 05 prélèvements à Franceville, soit un total de 2  811 cas confirmés ; Puis le Moyen Ogooué avec 11 nouveaux cas positifs sur 169 prélèvements à Lambaréné, soit un total  de 1 027 cas confirmés ; la Ngounié avec 00 nouveau cas positif sur 27 prélèvements à Mandji, soit un total de 195 cas  confirmés ; la Nyanga avec 00 nouveau cas positif sur 33 prélèvements à Tchibanga, soit un total de 219 cas  confirmés ; l’Ogooué Ivindo : 00 nouveau cas positif sur 18 prélèvements à Makokou, soit un total de  90 cas confirmés ; et enfin Woleu Ntem avec 01 nouveau cas positif sur 19 prélèvements à Bitam, soit un total de 210 cas  confirmés. Au total, sur les 743 110 tests réalisés, nous avons enregistré 23 311 cas positifs, dont 3 331 cas  actifs, 19 838 guérisons et 142 décès.

Par conséquent, le respect des gestes barrières est plus qu’impérieux pour se protéger contre le Covid-19. Il s’agit notamment de porter un masque dans les lieux et espaces publics ; de laver fréquemment les mains avec de l’eau et du savon ou un gel hydro alcoolique ; de respecter la distanciation sociale (au moins 1 mètre) ; en cas de toux et d’éternuement, se couvrir la bouche et le nez avec le coude fléchi ou un mouchoir. Jeter immédiatement le mouchoir  et se laver les mains ; d’éviter tout contact étroit avec une personne ayant de la fièvre et de la toux ; de saluer sans se serrer la main et éviter les embrassades ; de nettoyer les objets et les surfaces souillés.

Obone Flore

Journaliste

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