Victimes comme moi du pouvoir déchu d’Ali Bongo-PDG, des voix des gabonais ayant souffert le martyre sous le règne du despote Ali Bongo, aidé par ses fidèles les plus zélés et son parti criminel le PDG, réclament les assises des *3R* à savoir la Repentance, la Réparation, et la Réconciliation.
Nous l’avons déjà exprimé dans un de nos posts, quel dialogue peut-on engager avec des criminels PDGistes connus qui continuent, avec arrogance, à narguer ceux qu’ils ont jetés en prison, ceux qui ont eu des carrières brisées, des salaires coupés, des rappels non payés, des parents assassinés, et ont été injustement maltraités, etc?
Notre revendication n’est pas un appel à la vengeance, mais plutôt un appel à la construction du *NOUS*, car l’inclusivité voulue par le CTRI sans réconciliation préalable ne peut être que de l’hypocrisie.
En somme, ceux qui veulent qu’on passe l’éponge sont lâches, ils veulent qu’on passe leurs crimes pour pertes et profits.
L’heure de vérité a sonné, à chacun de récolter ce qu’il a semé.
Le Président du CTRI est un fervent croyant, qu’il se souvienne que la Bible enseigne dans l’Epître de Saint Paul aux Hébreux que » sans effusion de sang, il n’y a pas de pardon. » Histoire de rappeler que le mal, le péché qu’a accepté de porter Jésus le fils de l’homme (selon sa nature humaine en Christologie) l’a conduit à verser son sang pour obtenir le pardon des humains.
Les crimes commis par le pouvoir d’Ali-Bongo PDG, s’ils ne méritent pas l’effusion du sang, ne peuvent rester impunis; ils valent tout au moins Repentance, Réparation et Réconciliation.
Mobilisation en cours.
Affaire à suivre.
Par PETIT-LAMBERT OVONO ÉVALUATEUR CERTIFIÉ DES POLITIQUES PUBLIQUES PRÉSIDENT DE SOGEVAL
