Une onde de choc secoue l’Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG) avec la suspension de 8 de ses agents pour leur implication présumée dans des détournements de bourses par cartes bancaires. Cette décision radicale, annoncée par le Directeur général, le Pr. Ruphin Ndjambou, marque un tournant dans la lutte contre la corruption au sein de l’institution.
Dans une note officielle adressée au personnel, le Pr. Ruphin Ndjambou a pris la décision de suspendre ces hauts cadres, mettant ainsi fin à toute tolérance envers les pratiques illicites visant à s’enrichir au détriment des étudiants et du Trésor public. Cette action marque le début d’une ère de transparence et d’intégrité à l’ANBG, sous la direction résolue du Pr. Ndjambou.
L’enquête en cours, menée par les services spéciaux, fait état de soupçons de détournement de bourses par cartes bancaires, impliquant des noms fictifs tant au Gabon qu’à l’étranger. Les agents suspendus sont sommés de restituer les dossiers, les véhicules et les clés des bureaux, tandis que l’ANBG s’engage à poursuivre ses efforts pour éradiquer toute forme de corruption et de falsification.
Parmi les hauts cadres suspendus figurent des personnalités clés telles que Calvin Likamba-Tsama, Aimé Mouely, Loïck Eklu Gagnon Adan-Gblenou Mayandji, Christian Morgan Allogo Mintsa, Mathurin Asseko Zoukoue, Raissa Andréa Bissongui Makita épouse Matsoungou, Inès Cynthia Bingouma Bounaghan et Damiani Raïcka Moungala Mouboungou. Leur suspension marque le début d’une nouvelle ère de reddition de comptes et de respect de l’éthique au sein de l’ANBG, sous la ferme direction du Pr. Ruphin Ndjambou.
