« Ajournons les élections pour l’intérêt du Gabon » par Chamberland Moukouama.

N’est-il pas sage, face à la multiplications des périls visibles aux 4 coins du Gabon, de marquer une pause en convoquant, par exemple tous les chef(fes) traditionnel(les) pour apaiser les esprits.

Un mauvais vent souffle dans le pays, la colère monte. La haine est visible et lisible aux bouts des lèvres en menaçant notre vivre ensemble. Les gens se mentent, ce sont les mêmes badauds qui se baladent d’un meeting politique à un autre pour faire le nombre. Nous le savons tous.

En lieu et place du peuple, c’est la foule trompeuse à l’amitié vénale. Le peuple a une conscience et vote, la foule n’en a point et s’enfiche de voter. Un hit parade du leurre que la vague bleue de BLA et ses boys connaissent très bien. Où est cette foule jadis derrière Brice Laccruche Alihanga et ses ami(e)s pour plaider  leur cause. Zéro pointé CASH.

Les élections peuvent attendre, le temps que les gabonais(es) et tous ceux qui vivent au Gabon se parlent, car ceux qui se parlent ne se battent pas, sinon c’est parti pour un clash Cash.

AJOURNONS LES ÉLECTIONS CAR LES CHOSES NE SONT PAS BIEN FAITES.J’ai écrit.

Chamberland Moukouama

Paul Essonne

Journaliste

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