Selon des textes fondamentaux de la Constitution de la République gabonaise, le 11 janvier prochain, l’Assemblée nationale en rade depuis Avril 2018, devrait pouvoir procédé, dans la perspective de la future législature, élire le bureau qui devra conduire la chambre parlementaire dans les cinq années avenir.
Depuis la fin du processus électoral marqué par le renouvellement integral des « locataires » du Palais Léon Mba, l’on s’interroge de qui sera le remplaçant de Richard Auguste Onouviet au perchoir du Parlement. Si les opinions demeurent, jusque-là divergentes, il n’en demeure pas moins que les noms de potentiels successeurs sont constamment cités.
Le député du 1er siège de la commune de Koula Moutou, Membre du comité permanent du PDG Blaise Louembet « Y’a Blaise ou Zidane », semble être le favori du jeu des cartes.
Un choix qui répond à l’objectif du PDG, large vainqueur des législatives 2018, de voir la chambre basse du parlement être dirigée par un homme rompu à la tâche. Afin d’accélérer, par une prise de lois idoines, le processus de la transformation du pays à travers le programme politique initié et mis en oeuvre en ce sens, par le Distingué camarade président Ali Bongo Ondimba.
Surtout qu’au plan politique local, l’action de Blaise Louembet sera axé dans une vision de proximité avec les populations, trouver des solutions pour des mêmes populations, contribuer à l’amélioration des conditions de vie de ses populations, etc.
En effet, il y’a quelques jours, plusieurs centaine de compatriotes de la province de l’Ogooué Lolo issus des rangs de l’opposition ont adhéré à la politique du Parti démocratique gabonais, suite à la large victoire du parti au pouvoir aux élections législatives et locales 2018 dans la localité de Koula Moutou.
Homme de rigueur et pragmatique dans la gestion des affaires publiques, Blaise Louembet, plusieurs fois ministre après avoir occupé les fonctions de Trésorier-payeur général du Gabon, est défini comme un proche d’Ali Bongo Ondimba, dont-il reste fidèle et loyal à l’égard de la doctrine de développement du Gabon.
« Y’a Blaise ou Zidane », c’est selon, homme du sérail est également un héritier de grands leaders politiques du Gabon originaires de l’Ogooué Lolo : Jean Stanislas Migolet, Martin Fidèle Magnaga…
En parcourant votre article, je suis tombé en arrêt devant une affirmation, qui m’apparaît diffamante, inexacte et provocatrice, selon laquelle, je cite « « Y’a Blaise ou Zidane », c’est selon, homme du sérail est également un héritier de grands leaders politiques du Gabon originaires de l’Ogooué Lolo : Jean Stanislas Migolet, Martin Fidèle Magnaga… ». fin de citation.
Voudriez vous blesser la famille Migolet, et particulièrement ses fils aînés martyrisés par Martin Fidèle Magnaga et ses affidés oeuvrant dans les tribunaux et cours de Libreville; moquer ou souiller la mémoire de feu Jean Stanislas Migolet que vous ne vous seriez pas pris autrement.
Le personnage auquel vous tressez vos louanges, par sa carrière ministérielle et ses liens ténus avec Ali Bongo, n’est pas et ne peut être l’héritier de Jean Stanislas Migolet. Pour la simple raison que, la morale ne peut le permettre. On n’hérite pas de la personne contre lequel on s’est dressé au point de multiplier coups tordus par familles interposées ou par magistrats intervenants.
La famille de Jean Stanislas Migolet, dont ses fils aînés, a été littéralement dépouillée par une coalition politico-judiciaire menée par Martin Fidèle Magnaga, oncle de Blaise Louembé.
Ces individus pour faire place nette de la mémoire de feu Jean Stanislas Migolet ont joué des divisions internes de cette famille pour éteindre à jamais le souvenir de Jean Stanislas Migolet. Allant jusqu’à profaner la tombe de l’illustre disparu à des fins mystérieuses.
Donnez moi des exemples de ces héritiers qui nuisent à la mémoire et à la descendance de leurs auteurs.
Alors oui, le PDG a été baptisé à Koulamoutou pendant le « règne » de mon père. Seulement, il est évident que ce PDG de jadis (pronant l’unité nationale et le progrès) n’a plus rien à voir avec l’actuel PDG inféodé à d’autres valeurs récusées par la pensée politique de mon père. en effet, mon père n’y aurait pas souscrit à ce PDG nouveau (je peux le faire parler à raison pour avoir eu le privilège d’avoir été très proche et d’avoir recueilli ses derniers regrets sur l’ingratitude de ses anciens camarades, et notamment d’un certain Martin fidèle Magnaga qu’il a eu le tort d’élever).
Cette ingratitude s’est vérifiée quand, sa mémoire fut souillée par les inepties de Guy Rossatanga Rignault amalgamant rumeurs et faits historiques dans ses livres.En effet, j’ai le souvenir d’avoir fait à l’époque le tour de tous les politiciens de la province dans le but d’exposer la fausseté de l’imputation et susciter une réaction que je croyais leur revenir. Personne ne prit la défense de la mémoire souillée.
A l’exception de votre serviteur qui accula le présomptueux et audacieux historien dans les colonnes de l’ancien journal intitulé « le peuple »; aucun de vos prétendus héritiers proclamés ne broncha.D’ailleurs, j’attends toujours la réponse argumentée plus de 20 ans après.
La leçon ayant porté, je viens ici vous prier de corriger votre affirmation qui insulte la mémoire de mon père En aucun cas, Blaise Louembe ne peut pas être et ne sera pas l’héritier de Jean Stanislas Migolet. En aucun cas!
Qui ne dit mot consent? Pas toujours lorsqu’on est bien éduqués comme mon frère et moi l’avons été. Mais cette fois, vous franchissez le rubicon. C’est la fois de trop.
« Y’a Blaise ou Zidane », c’est selon, homme du sérail est également un héritier de grands leaders politiques du Gabon originaires de l’Ogooué Lolo : Jean Stanislas Migolet, Martin Fidèle Magnaga…C’est une provocation claire et nette pour la famille Migolet qui a été décimée par les manoeuvres judiciaires de Martin Fidèle Magnaga, les notaires Relongoue Bevigna Lydie et Anguilé Jean Louis Bertrand, et leurs magistrats altogovéens ou assimilés. Le but étant de spolier cette famille, et empêcher les fils Migolet d’entrer dans leurs droits patrimoniaux. Cet individu a été, dit-on jusqu’à profaner la tombe paternelle pour diviser définitivement la famille Migolet. A l’insu des fils Migolet et de la 1ère épouse Migolet. Sans autorisation.Comment pourrait-il être l’héritier de mon père quand dans tous les efforts de sa famille tendent à effacer la moindre trace de sa mémoire à Koulamoutou? La morale ne l’interdit-il pas?. S’agissant du PDG porté sur les fonds baptismaux par mon père; l’honnêteté commande de relever que ce PDG, dont l’objectif politique, était de rassembler les gabonais en son sein, n’a absolument plus rien à voir avec le PDG actuel. Les valeurs qui y sont défendues seraient récusées par mon père. Ce PDG n’a rien à voir avec celui que mon père baptisa en son terroir de l’Ogouée-Lolo. Pour avoir été très proche de mon père et pour avoir recueilli ses derniers regrets, je puis l’affirmer sereinement et absolument. Non non non, il y a d’autres grands leaders logovéens auxquels Blaise Louembe peut être rattaché politiquement; mais certainement pas à Jean Stanislas Migolet. Non certainement pas!