Après avoir reçu les principaux responsables politiques et institutionnels gabonais pour une séance de travaille élargie aux membres du cabinet présidentiel, le Président Ali Bongo Ondimba, dont l’état de santé connait une amélioration significative, un peu plus davantage pourrait regagné le Gabon dans les tous prochains jours.
Certains évoqueraient ce retour au cours de ce mois de décembre 2018.
Convalescent à l’hôpital militaire de Rabat (Maroc), avant de joindre son domicile privé depuis quelques jours, suite a un Accident Vasculaire Cérébral (AVC) contracté à Ryad (Arabie Saoudite), Ali Bongo Ondimba aurait quitté l’hôpital et, selon des sources concordantes, séjournerait actuellement dans une résidence royale, propriété des son frère et ami, le roi Mohammed IV. Avec qui le dirigeant gabonais aurait déjà eu plusieurs entretiens.
Après s’être rassuré des faits d’actualités nationales gabonaises et internationales, le chef de l’État aurait envisagé de regagner Libreville dans les meilleurs délais.
Le corps médical n’y verrait aucune objection au regard de l’amélioration de l’état de santé d’Ali Bongo Ondimba. Pourvu que le Président de la République poursuive en toute sobriété sa phase de rééducation de ses automatismes physiques atterrés par la crise.
Dans la perspective de l’imminence de ce retour, des dispositions seraient entrain d’être prises pour que le retour d’Ali Bongo Ondimba se fasse en toute discrétion aurait suggéré le corps médical.
L’avion transportant le chef de l’État gabonais pourrait atterrir sur une base militaire de Libreville contrairement à ceux qui préconisait un atterrissage à Mvengué (Franceville), plus contraignant pour un transport par hélicoptère.
L’objectif de ce retour, quelque peut précipiter, du chef de l’État aurait pour but de taire toutes les supputations malveillantes et les plus inopportunes faites autour de l’État de santé du Président de la République, dont d’aucuns s’imaginaient déjà les mécanismes de vacance du pouvoir non prévus par la constitution.
Cette équivoque paraît quasi nulle et de nul effet aujourd’hui.