Les agents de la commission nationale des travaux d’intérêt public pour la promotion de l’entreprenariat et de l’emploi créée par décret N°000007/MPPD du 4 janvier 2006, brillent par un comportement qui n’est pas à la hauteur des usagers et personne ne sait si cela vient de son secrétaire permanent Jean Pierre Boussougou, qui gagnerait à voir un ophtalmologue pour voir un peu plus clair sur le comportement des uns et des autres au sein de son institution. Une institution qui ne fait plus l’unanimité auprès des usagers qui gardent un mauvais souvenir des personnes qui sont censées faire respecter le règlement après la livraison du travail effectué.
Pour le virement d’un montant de 100 000 mille francs, c’est la croix et la bannière. Les secrétaires censées fournir des informations aux usagers, après le dépôt des éléments qui prouvent que le travail a été effectué demeurent motus et bouche cousue.
Que dire du comptable, ce n’est pas sur qu’elle aura votre temps, parce que donnant l’impression de s’occuper de toutes les comptabilités du Gabon. Un entrepreneur se rappelle d’avoir livré un travail, il va recevoir un chèque de la CNTIPPEE, une fois à la banque, le virement n’a jamais été effectué au motif que le chèque a été mal libellé. L’entrepreneur va repartir d’abord au niveau de la commande et ensuite au CNTIPPEE. Pour le premier, le problème ne se posait pas, pour le second, ils vont reprendre l’affaire en main. Sauf que jusque-là, l’affaire n’a pas connu son épilogue.
A la CNTIPPEE, les collaborateurs de Boussougou, le secrétaire permanent ne savent pas ce qu’on appelle l’anticipation. Aussi ces derniers brillent par un manque de respect et de considération envers les usagers.
Il va falloir que ce genre d’attitude change et que les partenaires soient un peu plus regardant en ce qui concerne la CNTIPPEE. Une image dénaturée ces dernières années, à cause des comportements peu orthodoxes du personnel.
Nous y reviendrons!