La République Gabonaise, est un état de droit dans lequel toutes les libertés fondamentales inscrites dans sa constitution sont garanties à tous les citoyens résidents sans aucune distinction. La loi est impersonnelle. Sur le plan politique, depuis les années 90 notre jeune démocratie a connu le multipartisme, qui a vu naître nombre de partis politiques de l’opposition car c’était la fin du parti unique.
Dès 1993, nous avons vu une opposition responsable aller aux élections présidentielles, c’était la concrétisation des accords de la conférence nationale signés 3 ans plus tôt. En 1994 et 2003 c’était respectivement la signature des accords de Paris et d’Arambo, toujours dans le but d’améliorer le système démocratique, apaiser le climat politique et favoriser la cohésion et l’unité nationale. 33 ans après, plusieurs générations d’opposants se sont succédé, c’est l’ère de la pluralité politique et de la démocratie participative. En effet, malgré tous ces acquis historiques et surtout indispensables à l’unité nationale et à la cohésion sociale, l’opposition gabonaise à depuis plusieurs années durant, montrée toutes ses limites. Cela se résume bien par le fait qu’après plus de 30 ans de multipartisme et 63 ans d’indépendance, le PDG en passant par le BDG a demeuré jusqu’à ce jour indéracinable. Des groupes et regroupements de néo-opposants se sont créé et par la suite éteints d’eux-mêmes, notamment dû à leurs carences de cohérence, de projets de sociétés fiables, de crédibilité et de vision commune. C’est dire que cette pseudo opposition n’a ni de stratégie, ni d’idéologie.
2023, année électorale au Gabon, ces mêmes fossoyeurs du régime actuel et neo-opposants, après avoir demandé le certificat médical du Président en exercice, pendant plusieurs années, sans suite, aujourd’hui cette opposition moribonde, dispersé, divisée et avide de projet ambitieux pour le Gabon, demande la vacance de pouvoir, en employant une technique éhontée, créant via les médias en lignes et les réseaux sociaux, une immense polémique infondée et qui n’a absolument aucun sens sur le dernier discours du Président Ali Bongo Ondimba sur une supposée absence de 5 ans au sommet de l’état prononcé à l’occasion de 55e Anniversaire de sa formation politique le Parti Présidentiel PDG, le 2 Avril dernier au Palais des sports de Libreville, alors qu’il n’en est rien du tout. Dans un état démocratique au sein duquel le Président de la République en exercice connu de tous, est bien aux commandes du pays et dirige la nation vers l’émergence avec un gouvernement rompu à la tâche et des institutions fortes, qui fonctionnent sans aucune interruption, donc normalement selon les textes en vigueur, on ne peut absolument pas parler de vacance de pouvoir.
Ce dimanche 2 Avril en question, dans un discours fort et plein d’émotions, le Distingué Camarade Président du PDG exprimait à ses camarades militants et alliés sa joie et son bonheur de se retrouver avec eux, devant des milliers de personnes, donc au contact de ses concitoyens, être aussi proche de son peuple après 5 ans d’absence à de tels rassemblements de terrain… C’était tout le sens de cette partie de son discours ce jour là.
En revanche, la soif du pouvoir de l’opposition gabonaise, l’a déséquilibre et ses membres deviennent des vendeurs d’illusions, des chantres de la haine, de la division et veulent semer le poison, pendant que les attentes du peuple sont immenses et nécessite des solutions urgentes pour l’amélioration des conditions de vie des Gabonaises et des Gabonais
La vigilance de tous et de chacun est mise à l’épreuve, mais le peule Gabonais ne se laissera plus jamais distraire, il a désormais un sens élevé de maturité, de discernement et au moment venu choisira de sanctionner cette opposition déconnectée des réalités et qui ne propose rien pour un Gabon meilleur. De là, nous allons inévitablement vers une réélection du candidat de la majorité républicaine et sociale pour l’émergence qui s’inscrira dans la continuité de l’avenir en confiance mise en œuvre sur tous les plans depuis 2009 par l’actuel Président de la République Chef de l’État.
De tous ses adversaires politiques déjà en lice pour le scrutin présidentiel d’Août 2023, Ali Bongo Ondimba, est l’homme de la situation, le choix par excellence avec lequel, le peuple Gabonais tout entier, ensemble, unis et solidaires, veut absolument continuer la construction de notre très cher et beau pays le Gabon.
Adams MINTSA ANGO
Homme Politique Gabonais