Le landernau politique a assisté,des mois durant à une danse curieuse de l’ancienne/nouvelle égérie du CLR Alexandre Tapoyo au point où d’aucuns n’ont pas hésité à parler de gesticulation politique et de danse du ventre. Cette danse du ventre a finalement pris fin à son lieu de départ : le CLR.
C’est le 21 octobre dernier que, par un communiqué du déléguée générale du Centre des Libéraux Réformateurs, parti proche de la majorité présidentielle, Nicole Asselé, nommait Alexandre Désiré Tapoyo aux fonctions de délégué général adjoint 1, chargédel’implantation et de la stratégie électorale. Ce qui, théoriquement fait de Tapoyo, le numéro 3 après Assélé Père et fille, respectivement
C’est donc un mois après avoir claqué les portes du PDG, le 24 septembre 2019 que Tapoyo est revenu sur sa rampe de départ, le CLR. Les motifs réels de ses deux sorties/entrées et du clr et du PDG sont aussi flous, du moins, peu crédibles que le personnage, il faut le reconnaître, à la rhétorique facile.